Derrière les voilages avec Herman

par Katalinka Báthory Sam 18 Sep - 18:14

""""le 27/08/1469""""
Arrivée sur Bordeaux elle n'avait dû en faire le tour pour y trouver sa future demeure, son antre où elle pourrait s'y isoler à loisir.
Une maison sur la falaise semblait être faite pour elle,s'étant rendue au bureau de L'adjoint à l'urbanisme pour pouvoir l'acheter elle en sortit clef en main.
kata prenait possession des lieux,La demeure n'était pas bien grande mais c'était chez elle.
Elle y serait bien pour écrire en toute apaisement sur son journal intime.
Relater son état d'esprit lui était important peut être pour laisser une trace de son passage.
Peut être des mots qu'elle n'osait dire tout haut aux personnes sourdes...
Visitant la demeure, elle se voyait déjà plume en main à coucher ses mots sur son journal, le port bien en vue.
Cela devait être de famille car ses cousines aimaient aussi ce genre de panorama inégalable.
La demeure n'était pas fort meublée juste de quoi y vivre, cela changeait du refuge bien qu'elle l'avait trouvé fort agréable.
Ses premiers plis seront pour elles d'ailleurs, juste les prévenir de sa fuite du couvent.
Se peut qu'elles lui répondront se peut que les plis resteront sans retours.

"""le 29/08/1469"""""
Jour de messe, pourquoi y aller??
Elle ne pouvait en aucun cas confesser ses nuits mouvementées comme si elle était le mal.
C'est ainsi que l'on allait la regarder?
Fallait il être épouse que pour pouvoir goûter ce plaisir interdit par l'église?
Elle qui semblait se moquer des principes sachant que le Pape était marié à un mignon?
Pourquoi les personnes de l'église se muselaient elles à ce sujet?
Qu'alors qu'on interdisait au curé de se marier...
Toutes ces questions l'exacerbaient, les faux semblants aussi.
Alors elle hésita à se rendre à messe, elle ira se confesser en aparté avec le très haut.

Il lui fallait rejoindre Philippe Louis qui lui avait offert la place de tenancière de son auberge.
Se voulant s'occuper elle avait accepté la place, cela aidé à faire connaissance.

par Katalinka Báthory Mar 7 Déc - 19:08

Quelques jours à peine qu'ils venaient d'emménager ensemble, la communion entre eux se passait bien, les attentes des deux côtés
les unissaient.
Pendant qu'il s'occupait, elle aimait à venir s'installer à ses côtés posant la tête sur son épaule souriante, lorsqu'il se mettait à dessiner elle suivait le mouvement de ses mains et de ses doigts qui tenaient avec délicatesse la plume.
Il lui arrivait de songer qu'elle était cette plume que pour le laisser la transporter en des traversées où lui seul avec accés.
Ce soir il faisait froid, allongée en son lit couvertures remontées sur la tête Kata avait froid bien que dans la chambre un feu y avait été allumé.
Elle avait beau se retourner en tout sens elle ne trouva pas la chaleur d'Herman.
Quelle idée de faire chambre à part, bien que pour ne pas se faire cataloguer par le voisinage tout deux avaient opté pour ce choix.
Pieds pratiquement gelés, elle prit décision que d'aller trouver là chaleur là où elle était.
Se redressant, les jambes qui sortent du lit dont les pieds cherchent les pantoufles pour s'y réfugier, kat se lève tout en passant son châle sur les épaules.
Que de prendre la bougie que pour s' aventurer en la chambre voisine.
La porte qui les sépare semble un rempart imposant mais si vite passé...
La chambre est endormie seul le feu en l'âtre maintient une nuance de vie.
De s'approcher du lit de déposer la bougie sur le coffre que pour s'y faufiler et aller prendre cette chaleur qu'elle convoite.
Ses pieds se plaquent contre ceux de son tendre, de retenir un sourire en attendant réaction.
Mais rien, tendrement elle se serre en ses bras cherchant sa bouche que pour mieux la goûter pendant que sa main fébrilement se glisse sournoisement sur son torse.
Son regard reste fixé sur les paupières encore closent d'herman.

par Katalinka Báthory Jeu 9 Déc - 12:17

De Herman.dulac.st.iane d'... Date d'envoi Le 09 Décembre 1469 à 12h11
Objet Re: Derrière les voilagesExpire le 26 Décembre 2021

Ce voyage vers leur futur, cet inconnu qui pouvait être excitant, mais aussi qui pouvait laisser à certain instant des moments d’appréhension. Leur couple s'harmonisait dans tout ce qu'ils entreprenaient. Dans ce voyage il avait été proche et leur envie d'amour les avait mené en cette chaumière qu'ils avaient aménagé de leurs affaires et meubles. Cela faisait quelques jours qu'il y travaillait pour qu'enfin en cette soirée, chacun dans leur chambrée, une nuit sans penser à faire pour le lendemain allait être réparatrice des efforts fait.
Herman, dans son intimité c'était dévêtu et avait fait sa toilette, puis passé un long moment devant la cheminée de sa chambre, regardant la danse des flammes qui projetaient sur les murs leurs ombres qui ondulaient sur les pierres. Il se laissa aller a rêvé, ces ombres lui rappelait sa Katalinka, fermant les yeux un instant comme si il la voyait cheminer juste devant lui, et comme a chaque fois que cela arrivait, il aimait à poser ses yeux sur elle, sur son corps qui chaloupait si parfaitement et qui le mettais en émois … Puis ses yeux clos s'ouvrirent et se posèrent sur la porte qui les séparait.
Il secoua la tête.
Alors qu'il avait passé depuis leur première rencontre, tant de nuit à être l'un contre l'autre, que ce soit dans le foin ou dans leur charrette, que cette décision commune de dormir loin de l'autre était pour cette première nuit sans penser au travail qui restait à faire pour le lendemain, une sottise. Mais ils l'avaient décidé ainsi et Herman, remis quelques grosses bûches dans l'âtre et pris place dans son lit. Malgré ses pensées amoureuse, la fatigue faisant, il s’endormit assez rapidement...
Puis soudain un grand frisson le parcouru, quand il ressentit que sa belle venait comme chaque nuit le visiter en ses rêves... Et comme a chaque fois, la passion de son amour pour elle l'emportait, il l’enserra en ces bras doucement, alors que son souffle s’accélérait un peu plus, que son corps s'armait pour elle de ses plus belles attentions, puis soudain un baiser tendre et enivrant, sa main qui s'évade sur son torse...
Alors que son feu intérieur prend de l'ampleur, Herman ouvre machinalement les yeux, et dans la clarté du foyer ronronnant et de la chandelle posée non loin, il l'a découvre comme par magie...
Et comme dans son rêve le plus indécent, il l'enlace avec amour, l'embrassant avec adoration, joignant leur langue dans un baiser charnellement excitant et profond, Puis comme si tout était normal, il se love amoureusement et avec douceur, sur le corps de la femme qu'il aime, afin d'en ressentir les moindres sensations …
Herman soudain réalise qu'il ne s'agit pas de son rêve chaud, mais que son amour est bien là, et qu'il était nu dans un position délicatement gênante...pour lui …

Chérie !!!

par Katalinka Báthory Lun 13 Déc - 17:46

De se laisser emporter par la violente griserie qui les prenait, d'un baiser tendre et enivrant les corps encore sur la défensive laissent retomber les retenues qu'ils s'imposaient.
Elle se retrouve vite emprisonnée entre ses bras mais ne se débattra pas, elle se présente toutes défenses rentrées juste accorte à le laisser poser son emprunte sur elle.
Le baiser lui enflamme le corps qui revendique au delà de ses désirs cet exaucement qui fera d'elle sa femme.
De caresses ses doigts parcourent le poitrail de son tendre après ce petit mouvement de recule qui s'était fait lorsqu'elle n'avait pas senti la chemise de corps qu'il devait porter.
Fermer les yeux et laisser guider le bout des doigts qui tourbillonnent avec lascivité pendant que les bouches se cherchent et s'agacent dans une ronde parfaitement menée.
De leur attente les corps se meuvent en les draps qui suivent les ondulations imposées.
Elle se retrouve vite sous son emprise lorsqu' un """Chérie!!!"""" vient un bref instant perturber son avancée.
De son index qui se pose sur les lèvres du tendre accompagné d'un chutttt expulsé du bout des siennes.
Ne pas parler laisser les sens vivre pleinement l'affolement qui les submerge.
Sa respiration se fait plus vite emportant dans son sillage un décolleté qui se soulève à chaque bouffée d'air inspirée.
Le corps d' Herman épouse le sien, les peaux se superposent l'une sur l'autre pendant qu'elle ressent cette chaleur lui brûler le bas ventre.
Elle doit le laisser la guider que pour mener leurs corps en les abîmes les plus profonds que pour en ressentir ce feu d'artifice qui fait cet effet aux amants.

par Katalinka Báthory Jeu 16 Déc - 19:51

De Herman.dulac.st.iane Date d'envoi Le 16 Décembre 1469 à 19h22
Objet Re: Re: Re: Derrière les voilages suiteExpire le 02 Janvier 2022
Katalinka est mon ange, mon paradis sur terre, elle me révolutionne … dire que je n'ai jamais vécu cela... et bien oui je le dis … je le pense vraiment. Ma vie d'homme était simple et basique, la vie m'avait accordé un monde a mon image... Mais là mon petit paradis d'amour est tout simplement ma folie de l'aimer.

Elle sait me surprendre, à chaque instant et là, je savais que je ne me maîtrisais plus...

Alors que nos corps s’appellent, se désirent, que notre envie d’appartenir à l’autre devient une évidence vitale tellement puissante, presque aussi essentielle que de respirer…. L’envie de ne faire qu’un dans notre « nous »…

Ce voyage extraordinaire de mes lèvres sur ta peau, vers l’inconnu de toi qui me fait ressentir le moindre frissonnement de ton corps alors que du bout de mes doigts, je m’évade sur ton galbe parfait. Je m’enivre de ton odeur, les flagrances mutines de notre désir laissent s’effondrer nos dernières barrières.

J’ai le souffle court et le cœur en tumulte, lorsque ma bouche gourmande se laisser glisser sur ton cou, alors que ta peau m'appelle encore et encore, puis je viens goûter tes seins tendus, qui me narguent et tandis que ma bouche se faisant gourmande joue avec tes mamelons qui te font grogner sous les caresses se faisant mordillantes. Puis je m'évade vers ton bas ventre qui se tend sous le frôlement de ma langue gourmande. Puis ton intimité qui trésaille quand mes lèvres doucement viennent embrasser ton antre d’amour, dévoilant à ma gourmandise amoureuse ta petite perle de plaisir déjà gonflée. Elle s’offre à mes assauts sensuels et passionnés de ma bouche, voulant déguster ton divin nectar d’amour, m’abreuver a la fontaine de ton plaisir que je voudrais aussi violent qu’un ouragan.

Tu frissonnes, alors que tu laisses échapper de profonds gémissements, puis tu t’abandonnes te déversant en ma gorge…en gémissant tremblante de plaisir, te libérant d’une foudroyante jouissance.

par Katalinka Báthory Lun 27 Déc - 21:00

De son corps habillé du drap qui la recouvre, elle se ploie sous les caresses savantes qu'il lui adresse.
Sa chevelure jais encadre un regard chatoyant et enfiévré suivant avec attention les mains fureteuses qui patrouillent sa terre interdite.
Fermer les yeux pour ne pas montrer le tourment qui la tient.
Fort heureusement que l'éclairage de la chambrée est tamisé que pour cacher la rougeur qui comble le petit arrondi de ses joues.
Herman se fait doux en son approche que de lui faire confiance et de se laisser aller.
Pendant qu'il la couvre de son corps et de ses baisers suaves, ses mains se portent sur ses épaules larges qui l'encadrent pratiquement.
De laisser se disjoindre les cuisses que pour l'inviter à y glisser sa virilité.
Telle une une feuille emportée par le ruisseau qui se fait un passage en le chenal étroit l'intrusion et faite.
Se mordiller la lèvre sous l'assaut fait de main de maître.
De sentir son corps chaud transpirer sous l'ardeur qui se fait sentir au moment qu'elle lui glisse des ""je t 'aime "" pour le solliciter.
Son corps suit docilement la danse que lui impose Herman.
Elle peut le sentir s'emballer tel un cheval débridé et reprendre un mouvement plus assouvissant.
Les bouches humides se retrouvent et se scellent en un baiser qu'elle n'aurait pas cru si torride.
Les corps se heurtent puis reprennent une ondulation chaloupée, de son bas ventre le feu y couvre.
Dans un mouvements de reins bien orchestré herman se laisse aller à la tempête qui se faisait en lui se libérant ainsi de son fardeau.
Des râles s'échangent pendant que les corps s'apaisent dans un légers tremblement.

Clovis..

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