D'une découverte sur Vaudemont
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D'une découverte sur Vaudemont
Sa garde estait calme comme bien souvent, juste des voyageurs qui ne faisaient que passer où des Lorrains faisant la tournée des villes histoire de se changer les esprits où juste pour aller voir chez le voisin comment se portait la ville.
Elle sortit de la poche intérieur de son mantel la carte qu'elle avait trouvé en fouillant dans son bureau.
Elle n'estait plus de grande fraîcheur mais la brunette avait su en comprendre quelques points importants.
Des chiffres et des notes avaient esté apposés sur l'un des coins de la carte.
Réfléchir à cette trouvaille se pouvait il qu'il s'agisse de choses importantes ou juste une carte sans réel intérêt?
Sa curiosité est piquée, il lui faut aller jusqu'au bout mesme si enfin de compte elle y perd son temps.
Mais le temps elle en a plus qu'il ne faut.
Sachant la milice en vadrouille, elle appelle Brutus et s'arme d'une lanterne à bougie pour guider ses pas en les venelles de la ville.
Passer devant la municipale où il semble que l'animation y demeure en cette heure tardive.
Sourire en se disant qu'en général les cours de François se faisaient en une austre.
D'allonger le pas pour s'éloigner de la porte le maistre où elle y a laissé Maturin garde des plus assidu que l'on pourrait prendre pour une statue de sel tant sa personne est superbe.
Marcher tout en levant la lanterne à hauteur du bras levé.
Un bruit de cailloux qui roulent suite à son passage, elle s'arreste pour vérifier que personne ne se trouve en un coin sombre c'est que les clodos en Vaudemont il y en avait.
Les clodos... sourire en imaginant son tendre aimé leur courir après que pour les jeter en les geôles.
Rien, personne mesme Brutus ne réagit point, elle reprend sa marche et se trouve devant la tour Courbellée.
On peut y voir la lueur des flammes qui l'éclaire , ce peut qu'un garde s'y trouve , il faudra y passer voir à son retour.
Quelques pas de plus et la voici devant la tour Brunehaut.
De s'arrester pour la considérer, elle estait la plus élevée en la ville et imposante.
Il faut continuer, du bout de sa botte elle repousse la porte qui est laissée entrouverte et donne passage à un escalier de pierres encore humides.
Petit regard vers la ville avant de disparaître derrière la porte qui se referme à leur suite.
Une odeur de moisissure emplit l'endroit, de descendre une volée de marches tournantes et étroites pour se retrouver en le sous sol.
De remarquer des flambeaux enchâssés en le mur, elle dépose au sol sa lanterne pour en sortir la bougie et de la tendre en direction d'un des flambeaux qui s'embrase rapidement.
Dernière édition par Alyosha di Fogliano le Ven 8 Avr - 18:31, édité 1 fois
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: D'une découverte sur Vaudemont
le sous sol est vouté, elle peut remarquer les gouttelettes perler sur les parois murales ce qui donne un aspect de brillance.
Puis,un entassement de vieux tonneaux rongés et verdis par l'humidité se trouve sur sa droite, une ombre vient de s'y cacher ce qui la fait reculer d'un pas.
De se douter de son identité, les rats envahissent les sous sols cherchant à éviter les humains.
C'est bien une bestiole horrible pour elle, elle n'ira point le déranger.
De vérifier sa carte pour poursuivre sa recherche.
D' hésiter sur au croisement qui se trouve à quelques enjambées, tout est poussiéreux.
Le sous sol a du estre abandonné, il ne semble point y avoir du mouvement en ce lieu.
Des toiles d'araignées entravent son passage.
Le probléme est qu'elle ne sait point vraiment ce qu'elle cherche ce détail ne figurant point sur la carte.
L'impression de tourner en rond l'irrite, elle semble s'enfoncer en les entrailles de la terre tout en suivant de longs couloirs sombres.
La présence de Brutus la rassure, il ne faudrait point qu'il lui arrive malheur personne ne saurait où la chercher.
De se gratter la teste en terminant sa marche devant une porte fermée.
Il lui faut l'ouvrir mais celle ci résiste.
De sa main libre, elle retire sa dague ciselée qu'elle porte toujours en son dos.
De glisser la pointe enstre la porte et la serrure et forcer.
Le bruit sec de l'ouverture qui vient de se faire entendre la soulage.
D'un revers de sa main frotte la sueur de son front qui commençait à l'envahir.
Elle se laisse à donner une petite tape amicale à Brutus qui observe d'un oeil fixe ses gestes mesurés.
Point d'inquiétude, mais je ne sais point où cela nous mène.
Une fois la porte ouverte elle se retrouve dans une cour , elle reconnait rapidement celle de l'église.
Elle ne comprends pas ce détour, aurait elle loupé un passage?
Puis,un entassement de vieux tonneaux rongés et verdis par l'humidité se trouve sur sa droite, une ombre vient de s'y cacher ce qui la fait reculer d'un pas.
De se douter de son identité, les rats envahissent les sous sols cherchant à éviter les humains.
C'est bien une bestiole horrible pour elle, elle n'ira point le déranger.
De vérifier sa carte pour poursuivre sa recherche.
D' hésiter sur au croisement qui se trouve à quelques enjambées, tout est poussiéreux.
Le sous sol a du estre abandonné, il ne semble point y avoir du mouvement en ce lieu.
Des toiles d'araignées entravent son passage.
Le probléme est qu'elle ne sait point vraiment ce qu'elle cherche ce détail ne figurant point sur la carte.
L'impression de tourner en rond l'irrite, elle semble s'enfoncer en les entrailles de la terre tout en suivant de longs couloirs sombres.
La présence de Brutus la rassure, il ne faudrait point qu'il lui arrive malheur personne ne saurait où la chercher.
De se gratter la teste en terminant sa marche devant une porte fermée.
Il lui faut l'ouvrir mais celle ci résiste.
De sa main libre, elle retire sa dague ciselée qu'elle porte toujours en son dos.
De glisser la pointe enstre la porte et la serrure et forcer.
Le bruit sec de l'ouverture qui vient de se faire entendre la soulage.
D'un revers de sa main frotte la sueur de son front qui commençait à l'envahir.
Elle se laisse à donner une petite tape amicale à Brutus qui observe d'un oeil fixe ses gestes mesurés.
Point d'inquiétude, mais je ne sais point où cela nous mène.
Une fois la porte ouverte elle se retrouve dans une cour , elle reconnait rapidement celle de l'église.
Elle ne comprends pas ce détour, aurait elle loupé un passage?
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: D'une découverte sur Vaudemont
je peux te faire pleurer. Je peux ramener les morts à la vie. Je peux te faire sourire, et renverser le temps. Je me forme en un instant mais je dure toute une vie. Qui suis-je ? un souvenir
Je n'ai jamais été mais je serai toujours. Personne ne peut me voir mais tout le monde sait que j'existe. Je donne aux gens la motivation de se dépasser chaque jour. Que suis-je ?
Solution : Demain
La nuit étoilée couvre de son manteau argenté la ville, elle ne sait que penser et reprend sa carte pour y jeter un nouveau regard.
L'index suit lentement le parcours dessiné jusqu'à se poser sur la croix.
Replier la carte tout en cogitant.
Contourner l'église pour y enstrer et se rendre à la crypte.
Il se peut que la réponse s'y trouve.
Une masse sombre perchée sur la branche d'un arbre surveille son avancée, un seul hululement trahira sa présence.
Entrée en l'église, elle n'en oublie point d'aller plonger le bout des doigts en le bénitier pour se signer.
Cela lui fait étrange d'y pénétrer de nuit et l' atmosphère y est pesant comme si elle ne devait point réveiller les âmes des statues dormantes.
Juste le cliquetis de son épée qui se fait entendre mesme brutus qui suit docilement reste silencieux.
En y songeant ce n'est point vraiment le chien qui manifeste sa présence par des aboiements à tout va.
Si il n' avait esté un chien, on aurait pu penser à un renard.
De gagner l'escalier donnant à la crypte, son coeur palpite sans savoir pourquoi.
Quelque chose de fort en cet endroit règne, de lever sa lanterne dont la bougie s'est réduite d'un bon quart.
L'endroit vaste est vouté en berceau tandis que de belles peintures ornent les murs.
Un tombeau s'y trouve en le centre comme le seul poumon de la crypte.
Son regard englobe l'endroit s'attarde sur des riens puis s'accroche sur ce qui à l'aspect d'un fascicule laissé à l'abandon sur le sol
Elle s'en approche pour le saisir et de sa main repousse la poussière qui le couvre.
Les pages sont abimées , délicatement elle les fait tourner puis s'arreste sur des phrases qui ont esté entourées.
Pourquoi cette phrase estait entourée et en quel sens fallait il la comprendre?
Estait elle la clé de la carte?
De continuer sa lecture tout en rapprochant sa lanterne pour mieux y voir.
Je n'ai jamais été mais je serai toujours. Personne ne peut me voir mais tout le monde sait que j'existe. Je donne aux gens la motivation de se dépasser chaque jour. Que suis-je ?
Solution : Demain
La nuit étoilée couvre de son manteau argenté la ville, elle ne sait que penser et reprend sa carte pour y jeter un nouveau regard.
L'index suit lentement le parcours dessiné jusqu'à se poser sur la croix.
Replier la carte tout en cogitant.
Contourner l'église pour y enstrer et se rendre à la crypte.
Il se peut que la réponse s'y trouve.
Une masse sombre perchée sur la branche d'un arbre surveille son avancée, un seul hululement trahira sa présence.
Entrée en l'église, elle n'en oublie point d'aller plonger le bout des doigts en le bénitier pour se signer.
Cela lui fait étrange d'y pénétrer de nuit et l' atmosphère y est pesant comme si elle ne devait point réveiller les âmes des statues dormantes.
Juste le cliquetis de son épée qui se fait entendre mesme brutus qui suit docilement reste silencieux.
En y songeant ce n'est point vraiment le chien qui manifeste sa présence par des aboiements à tout va.
Si il n' avait esté un chien, on aurait pu penser à un renard.
De gagner l'escalier donnant à la crypte, son coeur palpite sans savoir pourquoi.
Quelque chose de fort en cet endroit règne, de lever sa lanterne dont la bougie s'est réduite d'un bon quart.
L'endroit vaste est vouté en berceau tandis que de belles peintures ornent les murs.
Un tombeau s'y trouve en le centre comme le seul poumon de la crypte.
Son regard englobe l'endroit s'attarde sur des riens puis s'accroche sur ce qui à l'aspect d'un fascicule laissé à l'abandon sur le sol
Elle s'en approche pour le saisir et de sa main repousse la poussière qui le couvre.
Les pages sont abimées , délicatement elle les fait tourner puis s'arreste sur des phrases qui ont esté entourées.
je peux te faire pleurer. Je peux ramener les morts à la vie. Je peux te faire sourire, et renverser le temps. Je me forme en un instant mais je dure toute une vie.
Pourquoi cette phrase estait entourée et en quel sens fallait il la comprendre?
Estait elle la clé de la carte?
De continuer sa lecture tout en rapprochant sa lanterne pour mieux y voir.
Je n'ai jamais été mais je serai toujours. Personne ne peut me voir mais tout le monde sait que j'existe. Je donne aux gens la motivation de se dépasser chaque jour.
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: D'une découverte sur Vaudemont
"" Je peux te faire pleurer """ elle émit un râle de déplaisir.
Il n'estait point question qu'on la fasse pleurer, les larmes estaient pour les faibles elle ne l'estait que de moitié..
""Ramener les morts à la vie"", là estait histoire de l'inquisition fort heureusement son tendre estant homme d' église elle pourrait lui en toucher mot.
""Faire sourire""" **ah mais je ne demande que cela il suffit juste de savoir me toucher là estait une austre question**.
"""De renverser le temps""" De se gratter la teste en se demandant comment on pouvait le faire, il ne s'agit que d'une utopie.
Elle se laissa à dire que ces mots couchés donneraient bien du travail à l' inquisition qui se faisait bien discrète ..
De buter sur la phrase suivante, bien des choses se font en un instant et dure une vie.
la vie déjà en est une preuve mais encore?
**Han mais c'est tout un imbroglio dont il faut dénouer les noeuds .**
""Je n'ai jamais été mais je serai toujours""
Comment peut il estre sans avoir esté?
Toutes ces interrogations lui tourmentaient l'esprit qui n'estait plus des plus clair en l' heure qu'il estait.
Elle continua tant bien que mal à vouloir déchiffrer.
"""Personne ne peut me voir mais tout le monde sait que j'existe.""
Je sais, je sais c'est Dieu bien oui enfin ??
""Je donne aux gens la motivation de se dépasser chaque jour."""
Hum alors là l'amour?? les écus???
Mais où estait la réponse à tout cela.
Il n'estait point question qu'on la fasse pleurer, les larmes estaient pour les faibles elle ne l'estait que de moitié..
""Ramener les morts à la vie"", là estait histoire de l'inquisition fort heureusement son tendre estant homme d' église elle pourrait lui en toucher mot.
""Faire sourire""" **ah mais je ne demande que cela il suffit juste de savoir me toucher là estait une austre question**.
"""De renverser le temps""" De se gratter la teste en se demandant comment on pouvait le faire, il ne s'agit que d'une utopie.
Elle se laissa à dire que ces mots couchés donneraient bien du travail à l' inquisition qui se faisait bien discrète ..
De buter sur la phrase suivante, bien des choses se font en un instant et dure une vie.
la vie déjà en est une preuve mais encore?
**Han mais c'est tout un imbroglio dont il faut dénouer les noeuds .**
""Je n'ai jamais été mais je serai toujours""
Comment peut il estre sans avoir esté?
Toutes ces interrogations lui tourmentaient l'esprit qui n'estait plus des plus clair en l' heure qu'il estait.
Elle continua tant bien que mal à vouloir déchiffrer.
"""Personne ne peut me voir mais tout le monde sait que j'existe.""
Je sais, je sais c'est Dieu bien oui enfin ??
""Je donne aux gens la motivation de se dépasser chaque jour."""
Hum alors là l'amour?? les écus???
Mais où estait la réponse à tout cela.
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: D'une découverte sur Vaudemont
Noel 1469
L'hiver estait là, la neige avait envahi Vaudemont la couvrant de son manteau blanc.
Il faisait froid, pourtant en cette période hivernal tout le paysage offrait une autre vision.
Il n' y avait que la couleur blanche qui dominait la ville oubliant les couleurs printanières au moins pour plusieurs mois.
La neige commençait à retomber telle une conquérante recouvrant tout sur son passage, les branches grisâtres des arbres reprirent un certain lustre ainsi parés des cristaux de neige transparents dont le lumière semblait bleutée.
Des ordres donnés à Tati et à Gavroche que pour trouver un beau sapin, pendant qu'ils s'occupaient de cela la brunette cherchait un emplacement pour l'y installer et le décorer.
Devant le mairie estait pour elle l'endroit idéal que pour les habitants de pouvoir venir l'admirer.
Quelques heures passèrent en l'attende de l'arrivée de tati qui comme en son habitude s'essoufflait lorsque la besogne ne lui plaisait point.
Les sourcils qui se froncent, un visage fermé ne sachant point si elle doit la sermonner ou rire .
Allant à sa renconstre ses souliers s'enfoncèrent à chacun de ses pas en la neige et la faisaient crisser comme un maître d'orchestre qui bat la mesure.
Que d'installer le sapin et de faire la décoration.
Une fois terminé, elle croisa les bras admirative puis sa main droite se décroisant alla accrocher les coins du col de son mantel pour mieux la refermer.
Sourire qui s'étire en faisant vagabonder son regard sur les rues de la ville.
L'hiver estait là, la neige avait envahi Vaudemont la couvrant de son manteau blanc.
Il faisait froid, pourtant en cette période hivernal tout le paysage offrait une autre vision.
Il n' y avait que la couleur blanche qui dominait la ville oubliant les couleurs printanières au moins pour plusieurs mois.
La neige commençait à retomber telle une conquérante recouvrant tout sur son passage, les branches grisâtres des arbres reprirent un certain lustre ainsi parés des cristaux de neige transparents dont le lumière semblait bleutée.
Des ordres donnés à Tati et à Gavroche que pour trouver un beau sapin, pendant qu'ils s'occupaient de cela la brunette cherchait un emplacement pour l'y installer et le décorer.
Devant le mairie estait pour elle l'endroit idéal que pour les habitants de pouvoir venir l'admirer.
Quelques heures passèrent en l'attende de l'arrivée de tati qui comme en son habitude s'essoufflait lorsque la besogne ne lui plaisait point.
Les sourcils qui se froncent, un visage fermé ne sachant point si elle doit la sermonner ou rire .
Allant à sa renconstre ses souliers s'enfoncèrent à chacun de ses pas en la neige et la faisaient crisser comme un maître d'orchestre qui bat la mesure.
Que d'installer le sapin et de faire la décoration.
Une fois terminé, elle croisa les bras admirative puis sa main droite se décroisant alla accrocher les coins du col de son mantel pour mieux la refermer.
Sourire qui s'étire en faisant vagabonder son regard sur les rues de la ville.
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