Derrière les voilages.bis
Page 1 sur 1
Derrière les voilages.bis
La chambre est endormie seul le feu en l'âtre maintient une nuance de vie sous les ombres qui font vivre les murs.
De s'approcher du lit de déposer la bougie sur le coffre que pour s'y faufiler et aller prendre cette chaleur qu'ils convoitent.
Ses pieds se plaquent contre ceux de son tendre, de retenir un sourire en attendant réaction.
Tendrement elle se serre en ses bras cherchant sa bouche que pour mieux la goûter pendant que sa main fébrilement se glisse sournoisement sur son torse.
De se laisser emporter par la violente griserie qui les prenait, d'un baiser tendre et enivrant les corps encore sur la défensive laissent retomber les retenues qu'ils s'imposaient.
Elle se retrouve vite emprisonnée entre ses bras mais ne se débattra pas, elle se présente toutes défenses rentrées juste accorte à le laisser poser son emprunte sur elle.
Le baiser lui enflamme le corps qui revendique au delà de ses désirs cet exaucement qui fera d'elle sa femme.
De caresses ses doigts parcourent le poitrail de son tendre
Fermer les yeux et laisser guider le bout des doigts qui tourbillonnent avec lascivité pendant que les bouches se cherchent et s'agacent dans une ronde parfaitement menée.
De leur attente les corps se meuvent en les draps qui suivent les ondulations imposées.
Elle se retrouve vite sous son emprise.
Sa respiration se fait plus vite emportant dans son sillage un décolleté qui se soulève à chaque bouffée d'air inspirée.
Le corps de lou épouse le sien, les peaux se superposent l'une sur l'autre pendant qu'elle ressent cette chaleur lui brûler le bas ventre.
Elle doit le laisser la guider que pour mener leurs corps en les abîmes les plus profonds que pour en ressentir ce feu d'artifice qui fait cet effet aux amants.
De son corps habillé du drap qui la recouvre, elle se ploie sous les caresses savantes qu'il lui adresse.
un regard chatoyant et enfiévré suivant avec attention les mains fureteuses qui patrouillent sa terre interdite.
Fermer les yeux pour ne pas montrer le tourment qui la tient.
Se mordiller la lèvre sous l'assaut fait de main de maître.
De sentir son corps chaud transpirer sous l'ardeur qui se fait sentir au moment qu'elle lui glisse des ""je t 'aime "" pour le solliciter.
Son corps suit docilement la danse qu'il lui impose.
Elle peut le sentir s'emballer tel un cheval débridé et reprendre un mouvement plus assouvissant.
Les bouches humides se retrouvent et se scellent en un baiser pendant que des râles s'échangent au moment où les corps s'apaisent dans un légers tremblement.
Alors, elle se love en ses bras, vidée de toute énergie pour s'endormir en un sommeil paisible et réparateur.
De s'approcher du lit de déposer la bougie sur le coffre que pour s'y faufiler et aller prendre cette chaleur qu'ils convoitent.
Ses pieds se plaquent contre ceux de son tendre, de retenir un sourire en attendant réaction.
Tendrement elle se serre en ses bras cherchant sa bouche que pour mieux la goûter pendant que sa main fébrilement se glisse sournoisement sur son torse.
De se laisser emporter par la violente griserie qui les prenait, d'un baiser tendre et enivrant les corps encore sur la défensive laissent retomber les retenues qu'ils s'imposaient.
Elle se retrouve vite emprisonnée entre ses bras mais ne se débattra pas, elle se présente toutes défenses rentrées juste accorte à le laisser poser son emprunte sur elle.
Le baiser lui enflamme le corps qui revendique au delà de ses désirs cet exaucement qui fera d'elle sa femme.
De caresses ses doigts parcourent le poitrail de son tendre
Fermer les yeux et laisser guider le bout des doigts qui tourbillonnent avec lascivité pendant que les bouches se cherchent et s'agacent dans une ronde parfaitement menée.
De leur attente les corps se meuvent en les draps qui suivent les ondulations imposées.
Elle se retrouve vite sous son emprise.
Sa respiration se fait plus vite emportant dans son sillage un décolleté qui se soulève à chaque bouffée d'air inspirée.
Le corps de lou épouse le sien, les peaux se superposent l'une sur l'autre pendant qu'elle ressent cette chaleur lui brûler le bas ventre.
Elle doit le laisser la guider que pour mener leurs corps en les abîmes les plus profonds que pour en ressentir ce feu d'artifice qui fait cet effet aux amants.
De son corps habillé du drap qui la recouvre, elle se ploie sous les caresses savantes qu'il lui adresse.
un regard chatoyant et enfiévré suivant avec attention les mains fureteuses qui patrouillent sa terre interdite.
Fermer les yeux pour ne pas montrer le tourment qui la tient.
Se mordiller la lèvre sous l'assaut fait de main de maître.
De sentir son corps chaud transpirer sous l'ardeur qui se fait sentir au moment qu'elle lui glisse des ""je t 'aime "" pour le solliciter.
Son corps suit docilement la danse qu'il lui impose.
Elle peut le sentir s'emballer tel un cheval débridé et reprendre un mouvement plus assouvissant.
Les bouches humides se retrouvent et se scellent en un baiser pendant que des râles s'échangent au moment où les corps s'apaisent dans un légers tremblement.
Alors, elle se love en ses bras, vidée de toute énergie pour s'endormir en un sommeil paisible et réparateur.
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: Derrière les voilages.bis
L'après St Valentin.
Un moment tendre où le jeune couple pourrait se retrouver en toute quiétude.
De pouvoir profiter l'un de l'autre en les échanges brûlants et emportés.
Elle avait loupé la soirée St Valentin non de sa faute, juste qu'un milicien n'avait pas voulu la laisser sortir de la ville où elle se trouvait.
Alors, la soirée avait été retardé.
Et c'est lors de la soirée chaperon rouge qu'elle prit la fin de soirée en main.
N'était elle pas la louve et lui le chaperon?
Main en la main, les regards gourmands et prometteurs elle l'attira vers la demeure.
L'âtre de la demeure donnait déjà une disposition à ce qui serait leur fin de soirée.
La porte de l'entrée se refermant sur eux.
De sa main libre que d'aller effleurer le visage de son aimé pendant que son corps se rapproche du sien comme pour s'y accoler.
Ce rapprochement met en éveil ses sens.
De contrôler sa respiration pendant qu(elle dénoue les cordons de la chemise de son tendre.
Quelques mots sucrés lui sont abandonnés en l'oreille ce qui la fait sourire.
D'un pas de velours de guider sa proie vers la chambre où le lit complice parfois grinçant de leurs ébats les attend.
D'inviter l'aimé à prendre assise sur le lit, pendant qu'elle remplit une coupe de vin.
elle lui portera au bord des lèvres qui sous la caresse au palais viendra embraser le corps.
C'est dans un tourbillon de tendresse et de baisers passionnés qu'elle l'effeuilla.
La chemise se retrouva vite au pied du lit suivie des autres vêtures qui firent tout un tas.
Dans la pénombre, elle pouvait deviner le corps musclé de son aimé qu'elle sillonnait du bout des doigts.
S'arrêtant de temps à autre en un creux puis poursuivant son cheminement pendant que sa bouche chaude vient cueillir les lèvres de son aimé.
Les corps s'harmonisent et se dominent.
La vague les prends dans une tempête ravageuse, les corps glissent en les draps sous les râles de satisfactions.
Derniers soubresauts complices avant de se laisser retomber en les bras étendues de son aimé.
"" bonne nuit mon namour."""
Un moment tendre où le jeune couple pourrait se retrouver en toute quiétude.
De pouvoir profiter l'un de l'autre en les échanges brûlants et emportés.
Elle avait loupé la soirée St Valentin non de sa faute, juste qu'un milicien n'avait pas voulu la laisser sortir de la ville où elle se trouvait.
Alors, la soirée avait été retardé.
Et c'est lors de la soirée chaperon rouge qu'elle prit la fin de soirée en main.
N'était elle pas la louve et lui le chaperon?
Main en la main, les regards gourmands et prometteurs elle l'attira vers la demeure.
L'âtre de la demeure donnait déjà une disposition à ce qui serait leur fin de soirée.
La porte de l'entrée se refermant sur eux.
De sa main libre que d'aller effleurer le visage de son aimé pendant que son corps se rapproche du sien comme pour s'y accoler.
Ce rapprochement met en éveil ses sens.
De contrôler sa respiration pendant qu(elle dénoue les cordons de la chemise de son tendre.
Quelques mots sucrés lui sont abandonnés en l'oreille ce qui la fait sourire.
D'un pas de velours de guider sa proie vers la chambre où le lit complice parfois grinçant de leurs ébats les attend.
D'inviter l'aimé à prendre assise sur le lit, pendant qu'elle remplit une coupe de vin.
elle lui portera au bord des lèvres qui sous la caresse au palais viendra embraser le corps.
C'est dans un tourbillon de tendresse et de baisers passionnés qu'elle l'effeuilla.
La chemise se retrouva vite au pied du lit suivie des autres vêtures qui firent tout un tas.
Dans la pénombre, elle pouvait deviner le corps musclé de son aimé qu'elle sillonnait du bout des doigts.
S'arrêtant de temps à autre en un creux puis poursuivant son cheminement pendant que sa bouche chaude vient cueillir les lèvres de son aimé.
Les corps s'harmonisent et se dominent.
La vague les prends dans une tempête ravageuse, les corps glissent en les draps sous les râles de satisfactions.
Derniers soubresauts complices avant de se laisser retomber en les bras étendues de son aimé.
"" bonne nuit mon namour."""
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|