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Ma vie vaut bien celle d'un humain
par Brutus Ven 22 Avr - 21:11
Glissades a répétition Brutus se défoulait... il avait l'impression que sa caboche lui jouait des tours déjà les deux immondes bestioles puantes avaient agrandi le cercle restreint de sa maitresse mais elle était revenue avec une autre boule de poils toute blanche avec un tête de sacripant; Non trop c'est trop! va falloir choisir c'est moi ou les autres!! Pour l'instant veux rien savoir et heu j'ai faim quand même!
Couchait dans la neige le regard rivé sur sa demeure, il n'avait pas fait attention au ballet qui se faisait sur la place.Mais l'odeur de viande lui arriva en plein les naseaux.D"un bond, il se redressa et fila en direction de la provenance du fumet.On aurait dit que lt se réveillait, il reconnut Audixia et joyeusement s'aventura à lui tirer un bout de sa jupe.
Tout heureux il ne sortait que des ouaf ouaf suivit de wouaf wouaf plus imposant tout en faisant des bonds de côtés .C'est qu'il voulait jouer et la connaissant il était persuadé qu'elle flancherait.Ne répondant pas à sa demande et voyant le barbu à ses côtés il émit un petit grognement de mécontentement et fila en direction de la table où se trouvait les victuailles.Ni une ni deux, il profita qu'ils étaient tous à papoter et choppa un collier de petit saucissons et s'installa sous la table et commença avec délice son repas.
WOUAF
Bâillement à s'en décrocher les canines, petits étirement du bout des pattes pendant que sa tête se balance d'un côté à l'autre faisant voltiger quelques puces qui aussi vite allaient se raccrocher aux poils de la bête. Redressement de la tête, le regard profond Brutus observe sa maitresse .
""" Ils ont quoi ces humains à se lever à n'importe quelles heures du jour ou de la nuit. Moi, mon humaine, je l'adore et faut pas y toucher sinon je deviens féroce bah oui il paraît !Je ne sais pas ce qu'il lui trotte dans la caboche mais je ne la reconnais pas ces jours ci bien qu'elle soit toujours à me chatouiller le poitrail avec ses petits doigts mignons et doux.Bon, faut que je bouge moi..Une p'tite envie à passer et hop me voilà à trotter le long des remparts qui me donnent le vertige !ah si je pouvais expliquer cela à mon humaine, je crois bien que je n'y remonterai pas de si tôt!
Une odeur me fait stopper net tel un chien d'arrêt ,je lève la truffe et renifle à plein poumon. Sous l'excitation ma queue commence à remuer et à se tortiller dans tout les sens.Je crie """cet humain je le connais"" mais ce ne sont que des ouaf ouaf qui sortent de ma gueule.Ni une ni deux je lève la papate contre le muret pour éliminer ce que je retiens depuis tout à l'heure !quel soulagement, je vous dis pas!Sans perdre mon temps, je file à grandes enjambées vers l'homme humain, j'adore lui faire la fête ce peut parce qu'il me craint?Enfin hop me voila à lui sauter dessus tout content de le voir...
OUAF OUAF
Couchait dans la neige le regard rivé sur sa demeure, il n'avait pas fait attention au ballet qui se faisait sur la place.Mais l'odeur de viande lui arriva en plein les naseaux.D"un bond, il se redressa et fila en direction de la provenance du fumet.On aurait dit que lt se réveillait, il reconnut Audixia et joyeusement s'aventura à lui tirer un bout de sa jupe.
Tout heureux il ne sortait que des ouaf ouaf suivit de wouaf wouaf plus imposant tout en faisant des bonds de côtés .C'est qu'il voulait jouer et la connaissant il était persuadé qu'elle flancherait.Ne répondant pas à sa demande et voyant le barbu à ses côtés il émit un petit grognement de mécontentement et fila en direction de la table où se trouvait les victuailles.Ni une ni deux, il profita qu'ils étaient tous à papoter et choppa un collier de petit saucissons et s'installa sous la table et commença avec délice son repas.
WOUAF
Bâillement à s'en décrocher les canines, petits étirement du bout des pattes pendant que sa tête se balance d'un côté à l'autre faisant voltiger quelques puces qui aussi vite allaient se raccrocher aux poils de la bête. Redressement de la tête, le regard profond Brutus observe sa maitresse .
""" Ils ont quoi ces humains à se lever à n'importe quelles heures du jour ou de la nuit. Moi, mon humaine, je l'adore et faut pas y toucher sinon je deviens féroce bah oui il paraît !Je ne sais pas ce qu'il lui trotte dans la caboche mais je ne la reconnais pas ces jours ci bien qu'elle soit toujours à me chatouiller le poitrail avec ses petits doigts mignons et doux.Bon, faut que je bouge moi..Une p'tite envie à passer et hop me voilà à trotter le long des remparts qui me donnent le vertige !ah si je pouvais expliquer cela à mon humaine, je crois bien que je n'y remonterai pas de si tôt!
Une odeur me fait stopper net tel un chien d'arrêt ,je lève la truffe et renifle à plein poumon. Sous l'excitation ma queue commence à remuer et à se tortiller dans tout les sens.Je crie """cet humain je le connais"" mais ce ne sont que des ouaf ouaf qui sortent de ma gueule.Ni une ni deux je lève la papate contre le muret pour éliminer ce que je retiens depuis tout à l'heure !quel soulagement, je vous dis pas!Sans perdre mon temps, je file à grandes enjambées vers l'homme humain, j'adore lui faire la fête ce peut parce qu'il me craint?Enfin hop me voila à lui sauter dessus tout content de le voir...
OUAF OUAF
Brutus- Messages : 8
Date d'inscription : 07/08/2021
Localisation : Dans les jupons d' Alyosha
Re: Ma vie vaut bien celle d'un humain
par Brutus Ven 22 Avr - 21:13
Brutus caché sous une charrette attendait que l'orage passe, pas tout les jours qu'on lui courait sus avec une fourche pour lui piquer ses arrières.
Il n'avait pas encore su approcher de ses rejetons qui venaient de naître, l'homme qui s'occupait de sa famille et du reste de la meute lui barrait le passage depuis le matin.
Fier papa qu'il était devenu, il devait les montrer à sa Brune qui se faisait discrète depuis quelques jours au moins il était sûr qu'avec elle il pourrait approcher sa progéniture sans surveiller ses arrières.
C'est là sous cette charrette qu'il entendit enfin qu'elle l'appelait.
Heureux, il bondit hors de sa cachette pour aller à sa rencontre lui attrapant la manche pour la diriger vers le chenil.
Sortant de nul part l'homme s'approcha d'eux avec une bouille des mauvais jours.
Bien oui les humains ont dans leur changements d'humeurs le visage qui se transforme.
Rester aux côtés de sa brune et grande surprise voir sa nichée, une léchouille à la mère pour aller flairer les petits montres qui glapissent tout en cherchant la mamelle qui les alimentera.
Pas le temps de se morfondre sur eux que sa Brune tourne les talons en l'invitant à la suivre.
Quand il la vit sauter à cheval il comprit qu'ils allaient se dégourdir dans une belle sortie.
Accélérer la course, il aimait cela et défier les chevaux était pour lui le comble.
Il sait qu'il doit se mettre au travail, débusquer le gibier.
Pas mal d'odeurs flottent aux alentours, il cherche, renifle, stop et se met à l'arrêt.
Le gibier est là sous ses pattes, il peut ressentir le tremblement qui prend la bête apeurée.
Se raidir les membres comme la flèche sur l'arc.
Attendre que le gibier sorte mais, son nom retentit.
De se redresser et tendre l'oreille qui se met à pivoter de gauche à droite.
Laisser en plan son gibier et sprinter pour trouver sa Brune.
Il lui faut quelques minutes pour la trouver au sol.
Il ne comprend pas, elle veut certainement jouer et va lui coller une léchouille en prenant la position du sphinx
La brune ne semble pas rechercher l'amusement et lui lance un """ vas chercher"""
Oui il comprend le mot mais aller chercher quoi.?
Il saute, grogne puis file heureux de s'amuser.
Brutus se retrouve en quelques enjambées sur une piste dégagée, il peut sentir l'odeur forte des chevaux et redresse la truffe.
Un instant d'observation en direction des humains avant de se mettre à aboyer tout en tournant sur lui même d'une façon à leur indiquer de le suivre et de filer de nouveau en direction de sa brune.
Il n'avait pas encore su approcher de ses rejetons qui venaient de naître, l'homme qui s'occupait de sa famille et du reste de la meute lui barrait le passage depuis le matin.
Fier papa qu'il était devenu, il devait les montrer à sa Brune qui se faisait discrète depuis quelques jours au moins il était sûr qu'avec elle il pourrait approcher sa progéniture sans surveiller ses arrières.
C'est là sous cette charrette qu'il entendit enfin qu'elle l'appelait.
Heureux, il bondit hors de sa cachette pour aller à sa rencontre lui attrapant la manche pour la diriger vers le chenil.
Sortant de nul part l'homme s'approcha d'eux avec une bouille des mauvais jours.
Bien oui les humains ont dans leur changements d'humeurs le visage qui se transforme.
Rester aux côtés de sa brune et grande surprise voir sa nichée, une léchouille à la mère pour aller flairer les petits montres qui glapissent tout en cherchant la mamelle qui les alimentera.
Pas le temps de se morfondre sur eux que sa Brune tourne les talons en l'invitant à la suivre.
Quand il la vit sauter à cheval il comprit qu'ils allaient se dégourdir dans une belle sortie.
Accélérer la course, il aimait cela et défier les chevaux était pour lui le comble.
Il sait qu'il doit se mettre au travail, débusquer le gibier.
Pas mal d'odeurs flottent aux alentours, il cherche, renifle, stop et se met à l'arrêt.
Le gibier est là sous ses pattes, il peut ressentir le tremblement qui prend la bête apeurée.
Se raidir les membres comme la flèche sur l'arc.
Attendre que le gibier sorte mais, son nom retentit.
De se redresser et tendre l'oreille qui se met à pivoter de gauche à droite.
Laisser en plan son gibier et sprinter pour trouver sa Brune.
Il lui faut quelques minutes pour la trouver au sol.
Il ne comprend pas, elle veut certainement jouer et va lui coller une léchouille en prenant la position du sphinx
La brune ne semble pas rechercher l'amusement et lui lance un """ vas chercher"""
Oui il comprend le mot mais aller chercher quoi.?
Il saute, grogne puis file heureux de s'amuser.
Brutus se retrouve en quelques enjambées sur une piste dégagée, il peut sentir l'odeur forte des chevaux et redresse la truffe.
Un instant d'observation en direction des humains avant de se mettre à aboyer tout en tournant sur lui même d'une façon à leur indiquer de le suivre et de filer de nouveau en direction de sa brune.
Brutus- Messages : 8
Date d'inscription : 07/08/2021
Localisation : Dans les jupons d' Alyosha
Re: Ma vie vaut bien celle d'un humain
par Brutus Ven 22 Avr - 21:14
Sur le dos, patte en l'air tête tournée vers la grande cour, les babines retombantes flasquement, Brutus veille.
La position lui est agréable, au moindre gratouillement le voila qui se mouve tel un serpent avec grande satisfaction..
Depuis que sa maîtresse a posé bagage dans le château et s'est entichée de l'humaine, le voilà relégué au second plan!
Ah les humains! drôles d'animaux que cela....
Sa langue rose pendouille le long de la babine, il a soif mais il sait encore attendre un peu.
Son temps il le passe donc à s'aérer et à aller rendre visites aux femelles du chenil.
il sait bien qu'ils ne sont pas de la même portée et n'ont pas la même utilité.
Eux ne sont là que pour courser le gibier... que lui non non il est ancien maréchal chien bah oui ça existe...Ah bah il se la pète le brutus lorsqu'il passe au chenil.
Pour faire plaisir, il a même laisser ses germes, c'est qu'il est devenu la mascotte de ces femelles en plus ça fera de plus jolis chiots dans deux mois...
Des bruits de pas et de ferrailles le mettent en alerte.
D'un mouvement souple le voilà remis sur ses pattes.
Petits étirements des pattes avant qui font ressortir les griffes des coussinets pendant qu'une patte arrière s'étire sur la longueur.
Il est prêt!
Ses grands yeux s'écarquillent.
""" Le barbu est là! chouette vais pouvoir jouer un peu....""
En quelques bonds le voilà à tourner autour du trio.
Ses naseaux s'ouvrent grand à l'odeur équine qui flotte dans l'air, reniflement vers l'arrière pour avoir un aperçu de la chose..
""" Bah non c'est pas un des mien!!"""
La queue qui frétille il passe à la môme, léchouille sur la main en signe de bienvenu reste plus qu'à saluer le barbu.
Heureux le voilà à se redresser sur ses pattes arrières et poser celle du devant en plein le dos du barbu tout en sautillant.
Sa langue va se plaquer sur le visage, comme un gant que l'on y passe.
""Il est content le Brutus de s'amuser...."""
La position lui est agréable, au moindre gratouillement le voila qui se mouve tel un serpent avec grande satisfaction..
Depuis que sa maîtresse a posé bagage dans le château et s'est entichée de l'humaine, le voilà relégué au second plan!
Ah les humains! drôles d'animaux que cela....
Sa langue rose pendouille le long de la babine, il a soif mais il sait encore attendre un peu.
Son temps il le passe donc à s'aérer et à aller rendre visites aux femelles du chenil.
il sait bien qu'ils ne sont pas de la même portée et n'ont pas la même utilité.
Eux ne sont là que pour courser le gibier... que lui non non il est ancien maréchal chien bah oui ça existe...Ah bah il se la pète le brutus lorsqu'il passe au chenil.
Pour faire plaisir, il a même laisser ses germes, c'est qu'il est devenu la mascotte de ces femelles en plus ça fera de plus jolis chiots dans deux mois...
Des bruits de pas et de ferrailles le mettent en alerte.
D'un mouvement souple le voilà remis sur ses pattes.
Petits étirements des pattes avant qui font ressortir les griffes des coussinets pendant qu'une patte arrière s'étire sur la longueur.
Il est prêt!
Ses grands yeux s'écarquillent.
""" Le barbu est là! chouette vais pouvoir jouer un peu....""
En quelques bonds le voilà à tourner autour du trio.
Ses naseaux s'ouvrent grand à l'odeur équine qui flotte dans l'air, reniflement vers l'arrière pour avoir un aperçu de la chose..
""" Bah non c'est pas un des mien!!"""
La queue qui frétille il passe à la môme, léchouille sur la main en signe de bienvenu reste plus qu'à saluer le barbu.
Heureux le voilà à se redresser sur ses pattes arrières et poser celle du devant en plein le dos du barbu tout en sautillant.
Sa langue va se plaquer sur le visage, comme un gant que l'on y passe.
""Il est content le Brutus de s'amuser...."""
Brutus- Messages : 8
Date d'inscription : 07/08/2021
Localisation : Dans les jupons d' Alyosha
Re: Ma vie vaut bien celle d'un humain
par Brutus Ven 22 Avr - 21:15
Ah! les joies de s'amuser en se faisant les griffes.
Brutus était occupé à creuser un trou, ses pattes avant déblayaient la terre pendant que celles de l'arrière le maintenaient en place.
C'est que c'est pas si facile de creuser rien qu'avec ses pattes comme pourrait le croire l'humain.
le sol peut être argileux et compact et lui abimer les ongles..Ou sableuse facile à évacuer et là c'est ce qu'il se présentait à lui.
Un mont de terre se fit rapidement dans le dos de Brutus qui concentré sur son trou en oubliait sa surveillance..
Une fois que la profondeur obtenue atteignit son but, Brutus y déposa un bout de bois qu'il avait trouvé en chemin.
Pour l'humain qui aurait pu remarquer cet acte inutile pour lui ne l'était pas pour Brutus.
Il fallait bien qu'il trouve de quoi s'occuper et se divertir pendant que sa maitresse profitait des bienfaits du lac..
Son corps se raidit comme lorsqu'il est en alerte,sa tête se retire vivement du trou en lequel elle s'était plongée la truffe maculée de terre.
Ses oreilles s'agitèrent comme cherchant à s'orienter en un certain sens mais gérer deux oreilles en même temps cela relevait du coup de maître.
D'un bond,il tourna le dos à son occupation,babines retroussées il avança pratiquement en rasant le sol en direction de la voix inconnue qu'il percevait.
Brutus se trouvait à quelques enjambées de l'humain qui faisait face à sa maitresse,il ne ressentit pas dans la voix de l'humain de l'agressivité c'est qu'il a une bonne oreille le brutus.
Sa queue qui depuis un bon cinq minutes était raide se détendit et commença à battre le vent croyant reconnaître un certain humain mais de dos ce n'était pas facile..
Heureux de retrouver l'humain, langue pendante Brutus prit son élan et fou heureux s'abattit dans le dos de l'humain.Ses grosses pattes allèrent se poser sur le dos avec force puis il se mit à sauter cherchant sa rècompense.Grand coup de langue qui s'abat sur le visage que d'avant se remballer au font de sa gorge et voilà notre brutus aussi fou qu'un jeune chiot à japper comme un renard..
C'est alors qu'ouvrant bien ses diamants, il ne reconnut pas le visage de l'humain et se mit à grogner.
Brutus était occupé à creuser un trou, ses pattes avant déblayaient la terre pendant que celles de l'arrière le maintenaient en place.
C'est que c'est pas si facile de creuser rien qu'avec ses pattes comme pourrait le croire l'humain.
le sol peut être argileux et compact et lui abimer les ongles..Ou sableuse facile à évacuer et là c'est ce qu'il se présentait à lui.
Un mont de terre se fit rapidement dans le dos de Brutus qui concentré sur son trou en oubliait sa surveillance..
Une fois que la profondeur obtenue atteignit son but, Brutus y déposa un bout de bois qu'il avait trouvé en chemin.
Pour l'humain qui aurait pu remarquer cet acte inutile pour lui ne l'était pas pour Brutus.
Il fallait bien qu'il trouve de quoi s'occuper et se divertir pendant que sa maitresse profitait des bienfaits du lac..
Son corps se raidit comme lorsqu'il est en alerte,sa tête se retire vivement du trou en lequel elle s'était plongée la truffe maculée de terre.
Ses oreilles s'agitèrent comme cherchant à s'orienter en un certain sens mais gérer deux oreilles en même temps cela relevait du coup de maître.
D'un bond,il tourna le dos à son occupation,babines retroussées il avança pratiquement en rasant le sol en direction de la voix inconnue qu'il percevait.
Brutus se trouvait à quelques enjambées de l'humain qui faisait face à sa maitresse,il ne ressentit pas dans la voix de l'humain de l'agressivité c'est qu'il a une bonne oreille le brutus.
Sa queue qui depuis un bon cinq minutes était raide se détendit et commença à battre le vent croyant reconnaître un certain humain mais de dos ce n'était pas facile..
Heureux de retrouver l'humain, langue pendante Brutus prit son élan et fou heureux s'abattit dans le dos de l'humain.Ses grosses pattes allèrent se poser sur le dos avec force puis il se mit à sauter cherchant sa rècompense.Grand coup de langue qui s'abat sur le visage que d'avant se remballer au font de sa gorge et voilà notre brutus aussi fou qu'un jeune chiot à japper comme un renard..
C'est alors qu'ouvrant bien ses diamants, il ne reconnut pas le visage de l'humain et se mit à grogner.
Brutus- Messages : 8
Date d'inscription : 07/08/2021
Localisation : Dans les jupons d' Alyosha
Re: Ma vie vaut bien celle d'un humain
par Brutus Ven 22 Avr - 21:16
C'est du bout des pattes qu'il était sorti dans le froid, lorsque la porte de l'antre s'était ouverte sur un "" va faire un tour"""
Elle est bien bonne celle là! Fait froid puis mes coussinets se durcissent au contacte de la neige et du gel.
Allez faire comprendre ça à un humain...
Autant profiter, il longe la rue sombre qui débouche sur la place, tout en se trémoussant pour réchauffer ses muscles endormis.
Puis stop net, la truffe au vent l'odeur flottante alentours de Tamano qu'il reconnaissait facilement vient lui taquiner le museau.
Ses émeraudes se lèvent en direction des remparts où il doit s'y tenir.
Pas le temps d'aller lui faire une léchouille..
Continuer son errance, chercher sa belle qui doit se cacher encore dans une meule de foin.
Ah mais c'est qu'elle lui avait fait étrange surprise, l'autre soir.
Ce qui lui rappela le chenil de son Altesse où on avait voulu lui imputer la naissances d'horribles boules poilus..
Quand son humaine avait pris ses cliques et ses claques, il s'était senti tout léger d'une situation qu'il n'avait pas voulu.
Puis il n'était pas le seul mâle du chenil..
Facile de pointer du doigt le nouveau venu..
Il était venu la visiter, comme tout les jours, depuis qu'il s'était installé pour faire son devoir de mâle et surprise sa belle le reçut
avec des poilus au bout des tétines.
Depuis son travail avait doublé, devant trouver de quoi nourrir sa tribu.
Alors pour ne rien montrer à son humaine, il allait trainer sur le marché dérober quelques viandailles ou passait du côté de l'église le curé lui laissant quelques restes dans une gamelle au pied d'un banc de pierre situé devant le cimetière
C'est alors qu'il s'approchait de l'église passant par le cimetière qu'il la vit.
Ses émeraudes se firent grandes et fixèrent l'humaine occupée à creuser puis reboucher le sol de son territoire.
Restant dans l'ombre d'ailleurs la robe de son pelage l'y aidait, brutus attendit qu'elle parte pour aller creuser l'endroit qui avait été empiété.
Il fit un beau petit tas de terre derrière lui, mais plus il creusait et rien ne trouvait..
Dépassé par le vide, il ne comprenait pas les humains qui aimaient à faire des trous pour rien!
Elle est bien bonne celle là! Fait froid puis mes coussinets se durcissent au contacte de la neige et du gel.
Allez faire comprendre ça à un humain...
Autant profiter, il longe la rue sombre qui débouche sur la place, tout en se trémoussant pour réchauffer ses muscles endormis.
Puis stop net, la truffe au vent l'odeur flottante alentours de Tamano qu'il reconnaissait facilement vient lui taquiner le museau.
Ses émeraudes se lèvent en direction des remparts où il doit s'y tenir.
Pas le temps d'aller lui faire une léchouille..
Continuer son errance, chercher sa belle qui doit se cacher encore dans une meule de foin.
Ah mais c'est qu'elle lui avait fait étrange surprise, l'autre soir.
Ce qui lui rappela le chenil de son Altesse où on avait voulu lui imputer la naissances d'horribles boules poilus..
Quand son humaine avait pris ses cliques et ses claques, il s'était senti tout léger d'une situation qu'il n'avait pas voulu.
Puis il n'était pas le seul mâle du chenil..
Facile de pointer du doigt le nouveau venu..
Il était venu la visiter, comme tout les jours, depuis qu'il s'était installé pour faire son devoir de mâle et surprise sa belle le reçut
avec des poilus au bout des tétines.
Depuis son travail avait doublé, devant trouver de quoi nourrir sa tribu.
Alors pour ne rien montrer à son humaine, il allait trainer sur le marché dérober quelques viandailles ou passait du côté de l'église le curé lui laissant quelques restes dans une gamelle au pied d'un banc de pierre situé devant le cimetière
C'est alors qu'il s'approchait de l'église passant par le cimetière qu'il la vit.
Ses émeraudes se firent grandes et fixèrent l'humaine occupée à creuser puis reboucher le sol de son territoire.
Restant dans l'ombre d'ailleurs la robe de son pelage l'y aidait, brutus attendit qu'elle parte pour aller creuser l'endroit qui avait été empiété.
Il fit un beau petit tas de terre derrière lui, mais plus il creusait et rien ne trouvait..
Dépassé par le vide, il ne comprenait pas les humains qui aimaient à faire des trous pour rien!
Brutus- Messages : 8
Date d'inscription : 07/08/2021
Localisation : Dans les jupons d' Alyosha
Re: Ma vie vaut bien celle d'un humain
par Brutus Ven 22 Avr - 21:16
Couché au soleil fin sous les deux trois rayons de soleil que de temps en temps les mauvais nuages venaient voiler pour agacer brutus qui se relevait automatiquement à la recherche d'une nouvelle place pour profiter du soleil qui l'aidait à fixer le calcium dont il avait besoin et à mieux somnoler.
bah oui brutus est intelligent et sait ce qu'il lui faut.
Le voilà qui s'étire les pattes puis se laisse lourdement retomber sur le plancher.
Les yeux grands ouverts, il reluque ses à-côtés.
Sa maîtresse et dans son champs de vision de toute façon il ne la lâche pas du regard ,il veille, il chaperonne..
Brutus revient à l'observation de ses coussinets! c'est facile pour l'humain de trottiner des jours à la suite!
Ils ont de quoi se protéger les petons mais un chien que dalle!
faut qu'il marche, suivre, se blesse et continue sans rechigner!
Un p'tit coup de langue sur le coussinet endolori seul remède qu'il a trouvé le Brutus.
C'est que ça fait mal de se prendre une écharde dans le coussinet..
Il n'avait pas compris tout ces jours de marche, ils étaient bien chez marraine..
Va t'en comprendre un humain?
C'est pas que le paysage lui déplait mais lui fait remonter d'anciens souvenirs.Ce genre d'endroit, il connait, il en a déjà vu.
La patte arrière qui se dresse et vient gratouiller l'oreille."" hum c'est bon ça ! ""
Pas le temps d'achever voilà que la maîtresse prend la tangente.
Bon faut que je vous laisse, je dois la suivre.
bah oui brutus est intelligent et sait ce qu'il lui faut.
Le voilà qui s'étire les pattes puis se laisse lourdement retomber sur le plancher.
Les yeux grands ouverts, il reluque ses à-côtés.
Sa maîtresse et dans son champs de vision de toute façon il ne la lâche pas du regard ,il veille, il chaperonne..
Brutus revient à l'observation de ses coussinets! c'est facile pour l'humain de trottiner des jours à la suite!
Ils ont de quoi se protéger les petons mais un chien que dalle!
faut qu'il marche, suivre, se blesse et continue sans rechigner!
Un p'tit coup de langue sur le coussinet endolori seul remède qu'il a trouvé le Brutus.
C'est que ça fait mal de se prendre une écharde dans le coussinet..
Il n'avait pas compris tout ces jours de marche, ils étaient bien chez marraine..
Va t'en comprendre un humain?
C'est pas que le paysage lui déplait mais lui fait remonter d'anciens souvenirs.Ce genre d'endroit, il connait, il en a déjà vu.
La patte arrière qui se dresse et vient gratouiller l'oreille."" hum c'est bon ça ! ""
Pas le temps d'achever voilà que la maîtresse prend la tangente.
Bon faut que je vous laisse, je dois la suivre.
Brutus- Messages : 8
Date d'inscription : 07/08/2021
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