L'Atelier de culture
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L'Atelier de culture
Elle s'estait dit ne plus vouloir s'investir en une ville, ne penser qu'à elle.
Il estait dit que l'oisiveté n'estait point du tout pour elle.
Que faire en cette ville qui estait à présent sienne.
Elle avait acheté une nouvelle auberge et la baptisa au non de """la Salamandre II""" ayant gardé la première en Lt.
Il estait facile pour elle que de différencier ses deux emplois, des qu'elle se retrouvait en son antre les robes estaient remises en les coffres que pour sortir les braies et les chemises .
Ainsi vestue, elle s'adonnait à ses occupations, elle tenait à ce que les chambres soient propres et au plus pratique.
Les fenestres ouvertes donnaient à la pièce un air plus frais.
Elle vérifiait que les cuvettes et brocs estaient propres et point ébréchés, certains clients n'estant point des plus délicats.
Les draps estaient soigneusement retendus et lissés à l'aide d'un bâton.
Elle remit des linges propres sur les tabourets qui se tenaient à porté de main du cuvier en bois qu'elle avait fait revêtir de toiles épaisses pour éviter les égratignures.
Un bouquet de fleurs des champs en chacune des chambres que pour l'agrémenter.
Une fois le tour des chambres fait elle gagnait directement son atelier.
Ayant noté qu'il manquait de botaniste , elle s'estait laissée aller à porter son choix sur cet art.
Cela lui faisait drôle de sensation que de plonger ses mains en l'argile et de tenter d'en faire quelque chose.
Ce n'estait point aussi facile que la fabrication de ses pains mais trouvait en cette nouvelle entreprise plus d'enjouement.
Le faite que ses oeuvres seraient exposées et iraient embellir les jardins pour un bout de temps l'avait conforter en son choix.
Il est vrai qu'ayant esté 9 ans boulangère le travail estait différent elle avait rempli les estomacs que là ce serait les coeurs.
Le probléme est qu' apparemment elle devait y aller par étape.
Tout ce qui pouvait la faire râler..
Devoir passer des niveaux mais cela allait lui prendre combien de temps que pour faire de belles sculptures florale.
Elle soupira laissant là son atelier que pour aller prendre l'air en son jardin.
Il faisait encore beau ce jour, autant profiter du calme avant de s'en retourner en ses occupations auprès de son Altesse.
Il estait dit que l'oisiveté n'estait point du tout pour elle.
Que faire en cette ville qui estait à présent sienne.
Elle avait acheté une nouvelle auberge et la baptisa au non de """la Salamandre II""" ayant gardé la première en Lt.
Il estait facile pour elle que de différencier ses deux emplois, des qu'elle se retrouvait en son antre les robes estaient remises en les coffres que pour sortir les braies et les chemises .
Ainsi vestue, elle s'adonnait à ses occupations, elle tenait à ce que les chambres soient propres et au plus pratique.
Les fenestres ouvertes donnaient à la pièce un air plus frais.
Elle vérifiait que les cuvettes et brocs estaient propres et point ébréchés, certains clients n'estant point des plus délicats.
Les draps estaient soigneusement retendus et lissés à l'aide d'un bâton.
Elle remit des linges propres sur les tabourets qui se tenaient à porté de main du cuvier en bois qu'elle avait fait revêtir de toiles épaisses pour éviter les égratignures.
Un bouquet de fleurs des champs en chacune des chambres que pour l'agrémenter.
Une fois le tour des chambres fait elle gagnait directement son atelier.
Ayant noté qu'il manquait de botaniste , elle s'estait laissée aller à porter son choix sur cet art.
Cela lui faisait drôle de sensation que de plonger ses mains en l'argile et de tenter d'en faire quelque chose.
Ce n'estait point aussi facile que la fabrication de ses pains mais trouvait en cette nouvelle entreprise plus d'enjouement.
Le faite que ses oeuvres seraient exposées et iraient embellir les jardins pour un bout de temps l'avait conforter en son choix.
Il est vrai qu'ayant esté 9 ans boulangère le travail estait différent elle avait rempli les estomacs que là ce serait les coeurs.
Le probléme est qu' apparemment elle devait y aller par étape.
Tout ce qui pouvait la faire râler..
Devoir passer des niveaux mais cela allait lui prendre combien de temps que pour faire de belles sculptures florale.
Elle soupira laissant là son atelier que pour aller prendre l'air en son jardin.
Il faisait encore beau ce jour, autant profiter du calme avant de s'en retourner en ses occupations auprès de son Altesse.
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: L'Atelier de culture
La vie lui réservait toujours des surprises, juste une promenade qui l'avait amené plus loin de Bourg.
Une promenade qui allait changé encore une fois sa vie.
Le renconstrer avait opéré sur elle de nouvelles espérances.
Oublier les blessures du passé pour ne point condamner sa vie à venir.
Charmant, prévenant, délicat tel il estait à ses yeux.
Plaisant en ses gestes et paroles qui commençait à lui abandonner, de retenus tout deux quoi de mieux.
Laissant son coeur la guider, elle estait allée reprendre meubles et effets que pour venir s'installer auprès de lui.
Une quinzaine de jours sans se voir mais les échanges de plis s'estaient fait.
Enchainant leur attachement qui se dévoilait avec pudeur..
les sourires et regards à la dérobé lui plaisaient.
Une fois en Vaudemont, elle se chercha une maison où elle pourrait s'y retrouver et s'occuper de ses plantes et fleurs
Nouvelle occupation qui la charmait.
La demeure qu'elle avait acheté estait bien située, Mairie et église se trouvaient à sa portée.
Endroit qui sentait l'apaisement et c'est bien ce à quoi elle aspirait.
Défaire ses coffres que pour donner vie en la demeure et la rendre agréable à vivre.
Petit regard en direction de brutus qui comme un sphynx s'est installé devant la fenestre tournant de temps à austre la teste aux passage de quelques flâneurs.
Une promenade qui allait changé encore une fois sa vie.
Le renconstrer avait opéré sur elle de nouvelles espérances.
Oublier les blessures du passé pour ne point condamner sa vie à venir.
Charmant, prévenant, délicat tel il estait à ses yeux.
Plaisant en ses gestes et paroles qui commençait à lui abandonner, de retenus tout deux quoi de mieux.
Laissant son coeur la guider, elle estait allée reprendre meubles et effets que pour venir s'installer auprès de lui.
Une quinzaine de jours sans se voir mais les échanges de plis s'estaient fait.
Enchainant leur attachement qui se dévoilait avec pudeur..
les sourires et regards à la dérobé lui plaisaient.
Une fois en Vaudemont, elle se chercha une maison où elle pourrait s'y retrouver et s'occuper de ses plantes et fleurs
Nouvelle occupation qui la charmait.
La demeure qu'elle avait acheté estait bien située, Mairie et église se trouvaient à sa portée.
Endroit qui sentait l'apaisement et c'est bien ce à quoi elle aspirait.
Défaire ses coffres que pour donner vie en la demeure et la rendre agréable à vivre.
Petit regard en direction de brutus qui comme un sphynx s'est installé devant la fenestre tournant de temps à austre la teste aux passage de quelques flâneurs.
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: L'Atelier de culture
La demeure en ordre, il ne lui restait qu'à vivre.
Ayant quelques pots, elle se dirigea bien emmitouflée en son mantel vers son atelier pour débuter la culture de passeroses.
Nous ne dirons point qu'elle avait la main verte mais faisait avec application l'empotage.
Une fois son travail terminé, elle porta ses pots en un lieu lumineux.
Tout à sa nouvelle occupation, elle laissait ses pensées retracer la soirée qu'elle avait passé avec Tamano.
Qu'il estait plaisant d'estre à ses côtés et de voir cette pudeur parfois lui rosir les joues.
Que d'évoquer la suite de son déménagement en crayonnant la manifestation de ses nouvelles attentes.
Elle ne désirait point se contenter de planter des graines, sa soif de vivre revenait comme si elle avait esté en léthargie une belle année.
Se peut qu'il lui avait fallu cela pour se remettre à cheval et de nouveau se donner en une ville.
Car c'est bien en cela qu'elle se dévouait certes peut estre point autant d'années comme elle l'avait fait en le Poitou mais en l'instant elle ne voulait songer au temps qu'elle donnerait en la ville.
Les verres avaient esté rempli pour marquer le coup.
D'une oreille délicate, elle l'écoutait parfois lui donnant son sentiment sur certaines choses qui semblaient lui peser.
Elle le comprenait, sa position estait si enviable que certains n'hésitaient point pour chercher la moindre erreur.
Essayer de lui donner un peu de gaité en ces jours où le temps changeait, l'hiver rendait aussi les journées sombres.
Des regards qui se croisent et se soutiennent pour aller se porter sur les verres.
Puis au détour d'une conversation le ""puis je""" qui l'interpelle.
C'est là qu'elle se demande si une de ses mèche de cheveux est mal placée ou si une tâche s'est imprégnée sur l'une de ses joues.
Regard perdu à la recherche d'un appui où s'attacher pour ne point montrer l'incertitude qui la gagne.
Pour qu'enfin les visages se retrouvent face à face et que les lèvres aillent s'épouser en un baiser tendre.
Sourire sur les visages heureux d'avoir franchi le pas.
Elle sourit en revoyant ce baiser fragile les unir.
Petit regard par delà la fenestre où le soleil n'est plus qu'un pâle reflet en le ciel grisâtre.
L'hiver tout ce qu'elle a en sainte horreur.
De retirer les gants et refermer son col tout en gagnant le salon pour se réchauffer à l'âtre qui l'accueille avec des flammes ondulantes
Que de songer qu'elle a bien du courrier à envoyer..
Ayant quelques pots, elle se dirigea bien emmitouflée en son mantel vers son atelier pour débuter la culture de passeroses.
Nous ne dirons point qu'elle avait la main verte mais faisait avec application l'empotage.
Une fois son travail terminé, elle porta ses pots en un lieu lumineux.
Tout à sa nouvelle occupation, elle laissait ses pensées retracer la soirée qu'elle avait passé avec Tamano.
Qu'il estait plaisant d'estre à ses côtés et de voir cette pudeur parfois lui rosir les joues.
Que d'évoquer la suite de son déménagement en crayonnant la manifestation de ses nouvelles attentes.
Elle ne désirait point se contenter de planter des graines, sa soif de vivre revenait comme si elle avait esté en léthargie une belle année.
Se peut qu'il lui avait fallu cela pour se remettre à cheval et de nouveau se donner en une ville.
Car c'est bien en cela qu'elle se dévouait certes peut estre point autant d'années comme elle l'avait fait en le Poitou mais en l'instant elle ne voulait songer au temps qu'elle donnerait en la ville.
Les verres avaient esté rempli pour marquer le coup.
D'une oreille délicate, elle l'écoutait parfois lui donnant son sentiment sur certaines choses qui semblaient lui peser.
Elle le comprenait, sa position estait si enviable que certains n'hésitaient point pour chercher la moindre erreur.
Essayer de lui donner un peu de gaité en ces jours où le temps changeait, l'hiver rendait aussi les journées sombres.
Des regards qui se croisent et se soutiennent pour aller se porter sur les verres.
Puis au détour d'une conversation le ""puis je""" qui l'interpelle.
C'est là qu'elle se demande si une de ses mèche de cheveux est mal placée ou si une tâche s'est imprégnée sur l'une de ses joues.
Regard perdu à la recherche d'un appui où s'attacher pour ne point montrer l'incertitude qui la gagne.
Pour qu'enfin les visages se retrouvent face à face et que les lèvres aillent s'épouser en un baiser tendre.
Sourire sur les visages heureux d'avoir franchi le pas.
Elle sourit en revoyant ce baiser fragile les unir.
Petit regard par delà la fenestre où le soleil n'est plus qu'un pâle reflet en le ciel grisâtre.
L'hiver tout ce qu'elle a en sainte horreur.
De retirer les gants et refermer son col tout en gagnant le salon pour se réchauffer à l'âtre qui l'accueille avec des flammes ondulantes
Que de songer qu'elle a bien du courrier à envoyer..
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: L'Atelier de culture
Installée en son écritoire, plume plongée en l'encre et la main prête à se poser sur le pli, la brunette cherchait ses mots.
Oui cela lui arrive.....
La concentration estait si pesante qu'elle n'entendit point l'arrivée de Bertus.
Sursaut de surprise, la plume qui se détache des doigts et s'en va retomber sur le pli le maculant au passage de son encre.
De se relever de son assise que pour aller l'accueillir.
Le bon jour Bertus, cela me fait plaisir de te voir.
Assombrissement du visage avant de reprendre un air joyeuse.
Sois patient, un jour tu auras de beaux meubles aussi.
En attendant la maison t'es ouverte.
Tu sais bien que je t'estime beaucoup.
Sinon quoi de nouveau?
Hum tu tombes bien d'ailleurs , il est temps de voir pour les festes.
Tout en papotant, elle alla chercher un bon vin et quelques gâteaux que tati bibina avait fait..
Oui cela lui arrive.....
La concentration estait si pesante qu'elle n'entendit point l'arrivée de Bertus.
Sursaut de surprise, la plume qui se détache des doigts et s'en va retomber sur le pli le maculant au passage de son encre.
De se relever de son assise que pour aller l'accueillir.
Le bon jour Bertus, cela me fait plaisir de te voir.
Assombrissement du visage avant de reprendre un air joyeuse.
Sois patient, un jour tu auras de beaux meubles aussi.
En attendant la maison t'es ouverte.
Tu sais bien que je t'estime beaucoup.
Sinon quoi de nouveau?
Hum tu tombes bien d'ailleurs , il est temps de voir pour les festes.
Tout en papotant, elle alla chercher un bon vin et quelques gâteaux que tati bibina avait fait..
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
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