Un jour tu deviendras grand mon fils.
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Un jour tu deviendras grand mon fils.
Elle savait que sa grossesse était sur le point de se terminer.
Sachant sa cousine sur les routes et pour ne pas se retrouver seule lors de ce jour marquant, elle avait fait venir Tati bibina à ses côtés..
Cette femme l'avait vu naître puis grandir avec l'amour qu'une mère aurait pu lui porter.
Inséparables, Tati traversait tout les coups durs de la brune.
Depuis qu'elle avait repris sa liberté, elle avait de suite retrouvé le chemin de la Maréchaussée et celui de Tribum.
Bon passe temps pour enfouir au fond de son âme le dernier mauvais coup qu'elle avait eu.
De son travail, elle en trouvait satisfaction cependant la ville était comme un désert abritant des sables mouvants et à chaque pas elle se sentait happé vers le fond.
Le désarroi était en elle palpable prêt à éclater au moindre faux pas.
Pour maintenir cela elle s'accrochait à son travail et au petit qui allait venir la solliciter pour lui laisser enfin entrevoir la vie.
Alors, elle avait pris décision de se rendre en les terres de sa cousine qui lui avait fait préparer un appartement.
Elle était une épaule appréciable pour la brune même si bien souvent elles étaient pendant de longs mois sans se voir.
l'annonce du retour de Guido aussi l'avait enchantée.
Depuis qu'elle ne l'avait vu, il devait être bien grand maintenant..
Ces jours avec la chaleur, elle se sentait lourde bien trop lourde.
Parfois elle en riait se disant qu'elle n'arriverait même pas à poursuivre un malandrin si elle le devait.
En soirée au coin de la fenestre, elle regardait Tati occupait à confectionner des vêtements pour l'enfançon.
Ne sachant pas comment elle s'y prenait avec ses doigts boudinés qui s'affairaient activement avec une dextérité impressionnante.
C'est alors qu'une douleur la plia en Deux.
Ses mains allèrent se porter sur l'arrondi de son ventre comme pour le protéger d'une quelconque attaque.
L'alerte était donnée.
Gardant au mieux son calme ne voulant épouvanter Tati qui s'était déjà débarrassée de son travail pour venir sur elle.
Alyosha ma ké cé passa ? jé croua ké lé bambino arrivé.
Jé vé vous porter jousqu' à votré lit..
On ne panique pas Tati, respirez et tout ira bien.
Puis c'est moi qui accouche ..
Aidez moi à gagner le lit et vous irez préparer l'eau et les essuis.
Vous n'avez pas oublié ??
Une fois la futur Mère installée, tati alla remplir le cuvier qu'elle déposa sur la table d'appoint.
Elle tira les lourds rideaux puis prépara les onguents qui lui serviraient à endormir la douleur.
De placer des oreillers dans le dos d'une Alyosha au pire de sa forme.
Avec un geste de tendresse Tati alla essuyer le front qui montrait les premières perles de sueurs.
Parfois, elle allait jeter un regard à l'entre jambe pour constater l'avancée du travail.
La chambre avait été fleuri.
ça né dévré plou être long..Vous n'avez pas trop mal?
La brune tendit un regard trouble sur Tati qui remontait ses manches dévoilant ses énormes bras.
Un grimacement pendant que ses poings s'enfoncent dans la couverture la douleur est là.
Elle a l' impression que ses chaires se déchirent pendant qu'elle entend Tati lui crier de pousser.
Long moment ou elle tente de se pas crier bien que cela la libérerait.
Sa chemise est toute mouillée, ses cheveux lui collent le front.
Soupirer et haïr le père.
Mon dios c'est oune bel Ragazzo.
Le corps meurtris s'affaisse sur le lit abandonnant toute lutte.
Tati s'affaire coupant le cordon qui retient encore l'enfançon à sa mère .
Le bain est donné.
Le petit corp qui gigotte déjà est frotté avec du sel et du miel puis emmailloté.
Tati appelle Laora qui arrive portant un plateau de collation et un verre de vin épicé pour rendre de la vigueur à la brune qui cherche du regard l'enfançon.
L'enfant où est l'enfant?
Oune minoute, jé lé fait tout beau pour lés presentazione
Sachant sa cousine sur les routes et pour ne pas se retrouver seule lors de ce jour marquant, elle avait fait venir Tati bibina à ses côtés..
Cette femme l'avait vu naître puis grandir avec l'amour qu'une mère aurait pu lui porter.
Inséparables, Tati traversait tout les coups durs de la brune.
Depuis qu'elle avait repris sa liberté, elle avait de suite retrouvé le chemin de la Maréchaussée et celui de Tribum.
Bon passe temps pour enfouir au fond de son âme le dernier mauvais coup qu'elle avait eu.
De son travail, elle en trouvait satisfaction cependant la ville était comme un désert abritant des sables mouvants et à chaque pas elle se sentait happé vers le fond.
Le désarroi était en elle palpable prêt à éclater au moindre faux pas.
Pour maintenir cela elle s'accrochait à son travail et au petit qui allait venir la solliciter pour lui laisser enfin entrevoir la vie.
Alors, elle avait pris décision de se rendre en les terres de sa cousine qui lui avait fait préparer un appartement.
Elle était une épaule appréciable pour la brune même si bien souvent elles étaient pendant de longs mois sans se voir.
l'annonce du retour de Guido aussi l'avait enchantée.
Depuis qu'elle ne l'avait vu, il devait être bien grand maintenant..
Ces jours avec la chaleur, elle se sentait lourde bien trop lourde.
Parfois elle en riait se disant qu'elle n'arriverait même pas à poursuivre un malandrin si elle le devait.
En soirée au coin de la fenestre, elle regardait Tati occupait à confectionner des vêtements pour l'enfançon.
Ne sachant pas comment elle s'y prenait avec ses doigts boudinés qui s'affairaient activement avec une dextérité impressionnante.
C'est alors qu'une douleur la plia en Deux.
Ses mains allèrent se porter sur l'arrondi de son ventre comme pour le protéger d'une quelconque attaque.
L'alerte était donnée.
Gardant au mieux son calme ne voulant épouvanter Tati qui s'était déjà débarrassée de son travail pour venir sur elle.
Alyosha ma ké cé passa ? jé croua ké lé bambino arrivé.
Jé vé vous porter jousqu' à votré lit..
On ne panique pas Tati, respirez et tout ira bien.
Puis c'est moi qui accouche ..
Aidez moi à gagner le lit et vous irez préparer l'eau et les essuis.
Vous n'avez pas oublié ??
Une fois la futur Mère installée, tati alla remplir le cuvier qu'elle déposa sur la table d'appoint.
Elle tira les lourds rideaux puis prépara les onguents qui lui serviraient à endormir la douleur.
De placer des oreillers dans le dos d'une Alyosha au pire de sa forme.
Avec un geste de tendresse Tati alla essuyer le front qui montrait les premières perles de sueurs.
Parfois, elle allait jeter un regard à l'entre jambe pour constater l'avancée du travail.
La chambre avait été fleuri.
ça né dévré plou être long..Vous n'avez pas trop mal?
La brune tendit un regard trouble sur Tati qui remontait ses manches dévoilant ses énormes bras.
Un grimacement pendant que ses poings s'enfoncent dans la couverture la douleur est là.
Elle a l' impression que ses chaires se déchirent pendant qu'elle entend Tati lui crier de pousser.
Long moment ou elle tente de se pas crier bien que cela la libérerait.
Sa chemise est toute mouillée, ses cheveux lui collent le front.
Soupirer et haïr le père.
Mon dios c'est oune bel Ragazzo.
Le corps meurtris s'affaisse sur le lit abandonnant toute lutte.
Tati s'affaire coupant le cordon qui retient encore l'enfançon à sa mère .
Le bain est donné.
Le petit corp qui gigotte déjà est frotté avec du sel et du miel puis emmailloté.
Tati appelle Laora qui arrive portant un plateau de collation et un verre de vin épicé pour rendre de la vigueur à la brune qui cherche du regard l'enfançon.
L'enfant où est l'enfant?
Oune minoute, jé lé fait tout beau pour lés presentazione
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: Un jour tu deviendras grand mon fils.
Lorsqu'elle eut reçu le message, la blonde laissa pour un petit temps Belley que pour se rendre sur les terres de sa Cousine.
Une naissance dans la famille était depuis bien des années attendue et quelle joie de savoir sa cousine enfin mère.
Elle savait que tout n'était pas au beau fixe pour elle.
Elle avait entendu parler de cette séparation qui l' avait bien surprise.
Pour elle, sa cousine et le roux faisait un couple parfait .
Mais le parfait ne semble pas exister en ce Royaume.
De prendre le parti de ne rien évoquer de cela, à quoi servirait il de remuer le couteau dans la plaie.
Un bonheur était arrivé, il fallait en profiter.
C'est donc à peine descendue de cheval, qu'elle gagna la chambre de la brune.
La porte s'ouvrit grandement, laissant apercevoir un lit à baldaquin dont les voilages carmin bordaient le lit et descendaient jusqu'au sol.
Tout au centre du lit, sous une couette de même couleur que les voilages, s'y tenaient la frêle Cousine.
Son visage était laiteux et des cernes contournaient le cercle de ses yeux luisants.
Sourire au pli de la lèvre la Blonde s' en va biser les joues de la cousine.
Le bon jour ma chère Cousine, et bien te voilà enfin mère.
Nous commencions à désespérer .
Toutes mes félicitations.
J'ai hâte de voir mon filleul.
As tu trouvé un nom?
Il va falloir te reposer, et ne comptes pas repartir dans ton trou perdu où tu es allée te coincer.
Tout en parlant, de chercher la présence du petit.
Une naissance dans la famille était depuis bien des années attendue et quelle joie de savoir sa cousine enfin mère.
Elle savait que tout n'était pas au beau fixe pour elle.
Elle avait entendu parler de cette séparation qui l' avait bien surprise.
Pour elle, sa cousine et le roux faisait un couple parfait .
Mais le parfait ne semble pas exister en ce Royaume.
De prendre le parti de ne rien évoquer de cela, à quoi servirait il de remuer le couteau dans la plaie.
Un bonheur était arrivé, il fallait en profiter.
C'est donc à peine descendue de cheval, qu'elle gagna la chambre de la brune.
La porte s'ouvrit grandement, laissant apercevoir un lit à baldaquin dont les voilages carmin bordaient le lit et descendaient jusqu'au sol.
Tout au centre du lit, sous une couette de même couleur que les voilages, s'y tenaient la frêle Cousine.
Son visage était laiteux et des cernes contournaient le cercle de ses yeux luisants.
Sourire au pli de la lèvre la Blonde s' en va biser les joues de la cousine.
Le bon jour ma chère Cousine, et bien te voilà enfin mère.
Nous commencions à désespérer .
Toutes mes félicitations.
J'ai hâte de voir mon filleul.
As tu trouvé un nom?
Il va falloir te reposer, et ne comptes pas repartir dans ton trou perdu où tu es allée te coincer.
Tout en parlant, de chercher la présence du petit.
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
Localisation : Beausaint/Belley
Re: Un jour tu deviendras grand mon fils.
L'attente avait été longue pour la brune, Tati prétextait qu'elle devait faire tout beau l'enfant.
La patience c'est qu'en général elle en avait cependant en l'instant il lui fallait mettre un visage sur son petit.
Elle se l'était imaginé portant les traits de son père ce qui pour elle serait un rappel de la séparation suivit de la blessure.
Elle ne voulait plus penser à cela, elle s'était trompée une fois de plus.
Etait elle donc vouée aux échecs ?
Redressant la tête, les bras tendus elle avait enfin reçu son fils en les bras.
Un petit être inoffensif dont les poings étaient déjà fermés.
De détailler le contour du visage encore rougi, et de chercher en sa chevelure des reflets cuivrés qu'elle espérait ne point trouver;
Grand soupire rien de cela ne se présentait.
Elle avait songé à bien des prénoms pour l'enfant à naître autant que pour les filles ou les garçons.
Les choix étaient variés et délicats, il lui fallait un prénom avec une personnalité.
Et non un de ces prénoms ridicules que bien des personnes portaient.
Lorsque Tati lui avait révélé qu'il s'agissait d'un beau enfançon, elle en versa une larme.
L'enfant endormi en ses bras provoqua en elle un doux sentiment comme si pour la première fois elle faisait tomber les barrières qu'elle s'imposait depuis toujours.
Elle n'était plus Alyosha la maréchale ou la tribum ou tout autres, elle devenait Mère.
C'est au lendemain de ses couches qu'elle eut la surprise de voir la Blonde Cousine entrer d'un pas pressé en la chambre.
Verrina, c'est un plaisir de te voir aussi.
Et la voilà qui la bombarde de ci et de ça..
Le ptit s'appelle Nicolas Giosuè, il semble déjà bien costaud.
J'en suis fière.
Tu vas pouvoir jouer les tante.
Ne te préoccupes pas de ma santé, puis il faudra bien un jour ou l'autre que je retourne sur mes remparts.
Tu vas me dire que je monopolise ton chez toi.
De lui sourire .
Que me racontes tu donc ?
La Savoie semble mieux t apporter qu' à moi.
Puis, de regarder en direction du berceau .
La patience c'est qu'en général elle en avait cependant en l'instant il lui fallait mettre un visage sur son petit.
Elle se l'était imaginé portant les traits de son père ce qui pour elle serait un rappel de la séparation suivit de la blessure.
Elle ne voulait plus penser à cela, elle s'était trompée une fois de plus.
Etait elle donc vouée aux échecs ?
Redressant la tête, les bras tendus elle avait enfin reçu son fils en les bras.
Un petit être inoffensif dont les poings étaient déjà fermés.
De détailler le contour du visage encore rougi, et de chercher en sa chevelure des reflets cuivrés qu'elle espérait ne point trouver;
Grand soupire rien de cela ne se présentait.
Elle avait songé à bien des prénoms pour l'enfant à naître autant que pour les filles ou les garçons.
Les choix étaient variés et délicats, il lui fallait un prénom avec une personnalité.
Et non un de ces prénoms ridicules que bien des personnes portaient.
Lorsque Tati lui avait révélé qu'il s'agissait d'un beau enfançon, elle en versa une larme.
L'enfant endormi en ses bras provoqua en elle un doux sentiment comme si pour la première fois elle faisait tomber les barrières qu'elle s'imposait depuis toujours.
Elle n'était plus Alyosha la maréchale ou la tribum ou tout autres, elle devenait Mère.
C'est au lendemain de ses couches qu'elle eut la surprise de voir la Blonde Cousine entrer d'un pas pressé en la chambre.
Verrina, c'est un plaisir de te voir aussi.
Et la voilà qui la bombarde de ci et de ça..
Le ptit s'appelle Nicolas Giosuè, il semble déjà bien costaud.
J'en suis fière.
Tu vas pouvoir jouer les tante.
Ne te préoccupes pas de ma santé, puis il faudra bien un jour ou l'autre que je retourne sur mes remparts.
Tu vas me dire que je monopolise ton chez toi.
De lui sourire .
Que me racontes tu donc ?
La Savoie semble mieux t apporter qu' à moi.
Puis, de regarder en direction du berceau .
Alyosha di Fogliano- Messages : 264
Date d'inscription : 17/07/2021
Localisation : Sur les routes
Re: Un jour tu deviendras grand mon fils.
Nicolas Giosuè..
Hai fatto una buona scelta.
Il primo nome è gentile e allo stesso tempo imponente
Tu as fait un beau choix.
Le prénom est douceur et à la fois imposant
Jouer les tantes à mais tu penses bien que je serai là pour lui.
Et si tu as besoin je suis là.
D'ailleurs, tu peux t'installer ici à durée indéterminée.
Où si tu veux avoir ton intimité, j'ai une petite demeure dans le parc.
En général on s'en sert au moment de la chasse mais comme c'est assez rare.
Et ne me dis pas non tout de suite.
Réfléchis.
Elle avait suivi le regard de sa cousine et reporta le sien sur le berceau qu'elle venait d'apercevoir.
De se détourner du grand lit pour se trouver devant le berceau où l'enfant yeux grands ouverts la fixait.
De se pencher et de ses bras tendres de le sortir de ses draps.
Il est si petit..Sois le bienvenu en ce monde Nicolas Giosuè di Fogliano.
De lui biser du bout des lèvres le front dont la peau est encore si fine et fragile et de le rendre à sa mère.
Je dirais que Belley m'a apporté de belles amitiés et j'ai fait au mieux pour éviter ce qui est mauvais pour moi.
C'est vrai que tu n' as pas eu de chance, enfin si tu avais une bonne amitié avec Elvyna mais son entourage laisse
Hai fatto una buona scelta.
Il primo nome è gentile e allo stesso tempo imponente
Tu as fait un beau choix.
Le prénom est douceur et à la fois imposant
Jouer les tantes à mais tu penses bien que je serai là pour lui.
Et si tu as besoin je suis là.
D'ailleurs, tu peux t'installer ici à durée indéterminée.
Où si tu veux avoir ton intimité, j'ai une petite demeure dans le parc.
En général on s'en sert au moment de la chasse mais comme c'est assez rare.
Et ne me dis pas non tout de suite.
Réfléchis.
Elle avait suivi le regard de sa cousine et reporta le sien sur le berceau qu'elle venait d'apercevoir.
De se détourner du grand lit pour se trouver devant le berceau où l'enfant yeux grands ouverts la fixait.
De se pencher et de ses bras tendres de le sortir de ses draps.
Il est si petit..Sois le bienvenu en ce monde Nicolas Giosuè di Fogliano.
De lui biser du bout des lèvres le front dont la peau est encore si fine et fragile et de le rendre à sa mère.
Je dirais que Belley m'a apporté de belles amitiés et j'ai fait au mieux pour éviter ce qui est mauvais pour moi.
C'est vrai que tu n' as pas eu de chance, enfin si tu avais une bonne amitié avec Elvyna mais son entourage laisse
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
Localisation : Beausaint/Belley
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