Les petites histoires de la vie
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Les petites histoires de la vie
'' 22 Juin 1469""
Cela devait se passer sans une ombre au tableau mais il était dit que ce début de balade n'était pas pour Verrina.
Marchant aux côtés de Krahs , toute à deviser sur une question épineuse bah oui la question si il devait lui demander autorisation que pour aller biser les damoiselles ou non toujours est il qu'elle n'aura pas sa réponse..
Il faisait sombre bien que la lune leur traçait le chemin vers Bordeaux.
Ne songeant point à ce qui pourrait arriver, la blonde allait tranquillement ne se doutant pas que sa nuitée serait un cauchemar..
Pas le temps de dire ouf que la voila face à une damoiselle au teint hâlé qui lui réclama sans ambages ses biens.
La blonde ne comptant pas se faire délester aussi facilement car oui elle sait se défendre mais y a un malin qui a opté pour mettre en son histoire qu'elle devait se faire racketter sans broncher...
La blonde jauge la demoiselle qui certainement pour avoir plus de liberté en ses mouvements traine en nuisette à courte manche et à ras des fesses.
Certainement une façon de détourner l'attention des hommes car elle ne se rappela pas du tout que son compagnon soit intervenu en l'affaire...
Une attaque se fit de l'adversaire qui lui colla un coup de son bâton sur les côtes.La blonde serre les dents mais le combat n'était pas équitable, comment combattre une sauvageonne armée??
Dépitée la blonde lui balança en la tête la viande qu'elle avait en sa besace et les quelques écus.
Elle ne s'attendait pas à un merci ou à des excuses bien trop bah quoi c'est mon histoire aussi..
Restée quelque peu énervée, la blonde reprit son chemin.
Bordeaux se présentait à elle, la garde arriva au devant d'elle.
Un sourire sur le visage, contente de trouver aussi rapidement la maréchaussée que pour porter sa plainte et bien non !
Ne pouvant payer pour sa nuitée ah mais faut pas jouer avec les grandes villes ça taxe!
la voila rapidement encerclée par la garde et emmenée illico sans rien demander en les geôles de la ville.
Jetée comme une malpropre au fond de la Geôle, la blonde se dit qu'elle faisait un cauchemar et qu'elle allait se réveiller que nenni.
Un rat lui passa en les jambes, criant au secours, elle sauta sur la paillasse qui sentait le bouc.
Il faisait encore plus sombre que dehors et l'air humide la chatouillait.
Frissonnante, elle resta calée en un coin mettant ses arrières en sécurité sait on jamais...
Une voix s'éleva et couvra le calme qui régnait.
Dediou c'était celle de son tendre..
Il devait être venu la sortir de là, enfin c'est ce qu'elle se disait et c'est ce qu'elle aurait écrit si c'est elle qui avait mit en place la scène!
Bah non! Son tendre se trouvait dans la geôle voisine notant encore l'accueille comme à son habitude...
Dites mon tendre, vous allez mettre combien cette fois si ?? je peux vous en dire mon avis? un regard nouveau est toujours bon à prendre..
Soupire de désespoir qui l'envahit.
C'est en la matinée que ses geôliers vinrent lui ouvrir la porte de la liberté!
De mauvaise humeur, elle fila se plaindre au prévôt et porter plainte bien que cela n'aboutirait pas à grand chose les malandrins gagnaient toujours allez savoir pourquoi...
Cela devait se passer sans une ombre au tableau mais il était dit que ce début de balade n'était pas pour Verrina.
Marchant aux côtés de Krahs , toute à deviser sur une question épineuse bah oui la question si il devait lui demander autorisation que pour aller biser les damoiselles ou non toujours est il qu'elle n'aura pas sa réponse..
Il faisait sombre bien que la lune leur traçait le chemin vers Bordeaux.
Ne songeant point à ce qui pourrait arriver, la blonde allait tranquillement ne se doutant pas que sa nuitée serait un cauchemar..
Pas le temps de dire ouf que la voila face à une damoiselle au teint hâlé qui lui réclama sans ambages ses biens.
La blonde ne comptant pas se faire délester aussi facilement car oui elle sait se défendre mais y a un malin qui a opté pour mettre en son histoire qu'elle devait se faire racketter sans broncher...
La blonde jauge la demoiselle qui certainement pour avoir plus de liberté en ses mouvements traine en nuisette à courte manche et à ras des fesses.
Certainement une façon de détourner l'attention des hommes car elle ne se rappela pas du tout que son compagnon soit intervenu en l'affaire...
Une attaque se fit de l'adversaire qui lui colla un coup de son bâton sur les côtes.La blonde serre les dents mais le combat n'était pas équitable, comment combattre une sauvageonne armée??
Dépitée la blonde lui balança en la tête la viande qu'elle avait en sa besace et les quelques écus.
Elle ne s'attendait pas à un merci ou à des excuses bien trop bah quoi c'est mon histoire aussi..
Restée quelque peu énervée, la blonde reprit son chemin.
Bordeaux se présentait à elle, la garde arriva au devant d'elle.
Un sourire sur le visage, contente de trouver aussi rapidement la maréchaussée que pour porter sa plainte et bien non !
Ne pouvant payer pour sa nuitée ah mais faut pas jouer avec les grandes villes ça taxe!
la voila rapidement encerclée par la garde et emmenée illico sans rien demander en les geôles de la ville.
Jetée comme une malpropre au fond de la Geôle, la blonde se dit qu'elle faisait un cauchemar et qu'elle allait se réveiller que nenni.
Un rat lui passa en les jambes, criant au secours, elle sauta sur la paillasse qui sentait le bouc.
Il faisait encore plus sombre que dehors et l'air humide la chatouillait.
Frissonnante, elle resta calée en un coin mettant ses arrières en sécurité sait on jamais...
Une voix s'éleva et couvra le calme qui régnait.
Dediou c'était celle de son tendre..
Il devait être venu la sortir de là, enfin c'est ce qu'elle se disait et c'est ce qu'elle aurait écrit si c'est elle qui avait mit en place la scène!
Bah non! Son tendre se trouvait dans la geôle voisine notant encore l'accueille comme à son habitude...
Dites mon tendre, vous allez mettre combien cette fois si ?? je peux vous en dire mon avis? un regard nouveau est toujours bon à prendre..
Soupire de désespoir qui l'envahit.
C'est en la matinée que ses geôliers vinrent lui ouvrir la porte de la liberté!
De mauvaise humeur, elle fila se plaindre au prévôt et porter plainte bien que cela n'aboutirait pas à grand chose les malandrins gagnaient toujours allez savoir pourquoi...
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
Localisation : Beausaint/Belley
Re: Les petites histoires de la vie
((Et quand on se prend l' armée de face 14 Fév 1469))
Comme depuis quelque temps, nostre blondinette allait de Périgueux à Bergerac.Faisant le trajet toutes les semaines allant tranquillement vérifier l'état de son verger et passer saluer les connaissances qu'elle avait. Mais ce jour disons plutôt cette nuit il en avait été tout autrement..
Marchant tranquillement en les chemins, elle vit fondre sur elle l'armée qu'elle reconnut aussitôt estre celle de UTINAM II .Elle n'eut le temps de lever la main pour saluer qu'elle se faisait tabasser comme une malpropre par la meneuse de la dite armée. Les coups étaient rudes surtout qu'elle portait gantelets et des cuissards de fer qui redoublaient la force des coups. Essayant tant bien que mal de se protéger nostre blondinette reconnut Alana qui semblait s'en donner à coeur joie de la martyriser de la sorte.Elle finit par s'évanouir sous les coups portés.Au petit matin, frigorifiée, elle entrouvrit les yeux.Elle ne savait plus combien d'heures elle était restée là allongée en plein milieu du chemin son corps meurtris et douloureux.Elle dut faire grands efforts pour essayer de se relever sans y parvenir.
Elle en estait là à se demander si la vie allait lui être volée qu'alors elle en commençait une nouvelle depuis peu.Tout se bousculait en elle, elle revoyait l'armée et l'assaut portée constre elle.Ses doigts engourdis par la froidure s'agitaient fébrilement contre la gelée du sol.Sa tête semblait avoir enflé et lui pesait,.Le calme régnait alentours, le hululement d'un hibou se faisait entendre de temps à austre tel un mauvais présage.Que non , elle ne pouvait point finir là tel un animal blessé à mort.Elle sentit une larme couler le long de sa joue paralysée.
La blondinette gardait les yeux ouverts seul affront qu'elle pouvait faire à la mort que de la regarder en face.Il lui sembla discerner un morceau d'étoffe passer devant elle accompagné du crissement que fait les bottes sur le sol gelé dont le bout se présenta à son regard.Elle essaya de relever la teste pour découvrir qui se tenait auprès d'elle lorsqu'elle reconnut la voix d'Ada .Elle essaya d'articuler tant bien que mal..
J'ai .... été .....attaqué...
Elle dût s'arrêter un instant tant la douleur la torturait.
Je ... ne .....sais ..... pas.... Juste .....m'aider.....à .....me ......relever....
Du monde autour d'elle, d'autres voix qu'elle ne connait pas font échos en elle.Elle essaie de se redresser à nouveau et y parvient à peine.La présence d'Ada la tranquillise bien qu'elle sait au fond qu'elle devrait se trouver auprès de ses faux jumeaux.Elle l'entend la présenter au cavalier qui se dit bailli du Comté et s'interroge sur la présence de celui çi..Il fait encore plus froid, son corps tremble sous la morsure du temps; derniers efforts sont sollicités en son entendement.Ses yeux cillent nerveusement pendant qu'une grimace déforme son visage dont la peau vire au bleu et en altère le blanc .Son bras se lève et sa main cherche à s'accrocher à tâton au rebord de la houppelande qui vacille D'Ada.
Armée.... C'est l'armée...., j'ai reconnu la dame..... de Montford qui m' a attaquée.
Chaque mot lui tirait une grimace...
Il faut .... la stopper!!
Elle se jura de lui faire payer son forfait, même si cela devait prendre du temps.Elle n'en restera pas là.Ses mirettes se portérent sur la môme qui semblait vouloir en savoir plus sur son état puis sur une autre pas plus haute que trois pommes, noiraude de cheveux le regarde inquisiteur.
Comme depuis quelque temps, nostre blondinette allait de Périgueux à Bergerac.Faisant le trajet toutes les semaines allant tranquillement vérifier l'état de son verger et passer saluer les connaissances qu'elle avait. Mais ce jour disons plutôt cette nuit il en avait été tout autrement..
Marchant tranquillement en les chemins, elle vit fondre sur elle l'armée qu'elle reconnut aussitôt estre celle de UTINAM II .Elle n'eut le temps de lever la main pour saluer qu'elle se faisait tabasser comme une malpropre par la meneuse de la dite armée. Les coups étaient rudes surtout qu'elle portait gantelets et des cuissards de fer qui redoublaient la force des coups. Essayant tant bien que mal de se protéger nostre blondinette reconnut Alana qui semblait s'en donner à coeur joie de la martyriser de la sorte.Elle finit par s'évanouir sous les coups portés.Au petit matin, frigorifiée, elle entrouvrit les yeux.Elle ne savait plus combien d'heures elle était restée là allongée en plein milieu du chemin son corps meurtris et douloureux.Elle dut faire grands efforts pour essayer de se relever sans y parvenir.
Elle en estait là à se demander si la vie allait lui être volée qu'alors elle en commençait une nouvelle depuis peu.Tout se bousculait en elle, elle revoyait l'armée et l'assaut portée constre elle.Ses doigts engourdis par la froidure s'agitaient fébrilement contre la gelée du sol.Sa tête semblait avoir enflé et lui pesait,.Le calme régnait alentours, le hululement d'un hibou se faisait entendre de temps à austre tel un mauvais présage.Que non , elle ne pouvait point finir là tel un animal blessé à mort.Elle sentit une larme couler le long de sa joue paralysée.
La blondinette gardait les yeux ouverts seul affront qu'elle pouvait faire à la mort que de la regarder en face.Il lui sembla discerner un morceau d'étoffe passer devant elle accompagné du crissement que fait les bottes sur le sol gelé dont le bout se présenta à son regard.Elle essaya de relever la teste pour découvrir qui se tenait auprès d'elle lorsqu'elle reconnut la voix d'Ada .Elle essaya d'articuler tant bien que mal..
J'ai .... été .....attaqué...
Elle dût s'arrêter un instant tant la douleur la torturait.
Je ... ne .....sais ..... pas.... Juste .....m'aider.....à .....me ......relever....
Laora
Menant sa charrette contenant ses marchandises qu'elle devait vendre sur le marché Laora avait fait ralentir gudule son âne.Un tumulte était à s'opérer pratiquement au devant de la môme.Son regard qui habituellement frisait la gaité venait de s'éteindre sous le choc.Elle eut tout de même le réflexe d'aller se cacher derrière un bouquet d'arbres qui bordait le chemin.Poing couvrant la bouche la môme tremblait en constatant qu'une fois encore l'armée ne comptait que des brutes.Elle ne comprenait pas leur présence en les lieux et même si ils ne faisaient que passer à quoi était dû ce lynchage...Elle referma son châle sur elle et pria que Gudule ne se mettre pas à braire ne voulant pas que sa présence soit démasquée.
Le lynchage dura de belles minutes et le groupe armé repartit sans un regard en arrière laissant là le corps recroquevillé sur lui même pour mort.Ses petites jambes flageolaient mais Laora était une môme courageuse dans le fond.Une fois le groupé armé disparu de sa vision, elle sortit de sa cachette, gudule sur ses arrières.
Une dame portant lanterne en main semblait faire rempart de son corps devant celui qui était au sol.Elle devait être venu par un autre chemin emprunté et un cavalier semblait arriver lui aussi par une autre bifurcation. Elle s'approcha avec hésitation.
Vous avez b'soin d'aide? J'ai tout vu les pendards n'y sont pas allé de main morte!
La môme regarda la dame et l'homme.
Du monde autour d'elle, d'autres voix qu'elle ne connait pas font échos en elle.Elle essaie de se redresser à nouveau et y parvient à peine.La présence d'Ada la tranquillise bien qu'elle sait au fond qu'elle devrait se trouver auprès de ses faux jumeaux.Elle l'entend la présenter au cavalier qui se dit bailli du Comté et s'interroge sur la présence de celui çi..Il fait encore plus froid, son corps tremble sous la morsure du temps; derniers efforts sont sollicités en son entendement.Ses yeux cillent nerveusement pendant qu'une grimace déforme son visage dont la peau vire au bleu et en altère le blanc .Son bras se lève et sa main cherche à s'accrocher à tâton au rebord de la houppelande qui vacille D'Ada.
Armée.... C'est l'armée...., j'ai reconnu la dame..... de Montford qui m' a attaquée.
Chaque mot lui tirait une grimace...
Il faut .... la stopper!!
Elle se jura de lui faire payer son forfait, même si cela devait prendre du temps.Elle n'en restera pas là.Ses mirettes se portérent sur la môme qui semblait vouloir en savoir plus sur son état puis sur une autre pas plus haute que trois pommes, noiraude de cheveux le regarde inquisiteur.
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
Localisation : Beausaint/Belley
Re: Les petites histoires de la vie
Le nom de Montfort semblait tous les surprendre à voir leurs visages blêmir.Elle n'avait pas grand souvenance de cette personne tout juste croisé en taverne mais sans autres liens.Ada proposa sa demeure mais la blondinette réussit à lui souffler ..
.Je serais mieux chez Krahs, vous avez déjà vos enfants à charge je ne voudrais point vous encombrer plus avant et vostre époux n'appréciera point..
Elle lui était reconnaissante de par sa présence en les lieux mais ne voulait point devenir une charge.Elle était donc là a attendre qu'ils se mettent en accord. Lorsqu'elle remarqua la charrette de la môme.
.La charrette de la môme pourrait bien servir, si l'on voulait bien m'aider à m'y installer.
.Je serais mieux chez Krahs, vous avez déjà vos enfants à charge je ne voudrais point vous encombrer plus avant et vostre époux n'appréciera point..
Elle lui était reconnaissante de par sa présence en les lieux mais ne voulait point devenir une charge.Elle était donc là a attendre qu'ils se mettent en accord. Lorsqu'elle remarqua la charrette de la môme.
.La charrette de la môme pourrait bien servir, si l'on voulait bien m'aider à m'y installer.
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
Localisation : Beausaint/Belley
Re: Les petites histoires de la vie
Equipée en famille...
Un départ qui semblait prendre du temps à se parfaire, les occupations de l'un ou l'autre faisaient que tout été repoussés.
Pourtant, il lui fallait sortir un peu des habitude et de la routine de Belley.
Belley cette chère Belley havre de paix..
Bien trop pour la blondinette.
Même si, elle avait un pied à terre bien placé sur la falaise qui lui offrait un éclatant panorama il lui fallait bouger.
Alors quand on parle de partir c'est avec un certain empressement qu'elle prépare les malles.
A cette occasion en plus de profiter du carrosse de son parrain son fils les accompagner ainsi que le nouveau garde de la famille.
Alddo avec deux D..
C'était sa façon de se présenter.
Façon de la faire sourire.
Installée en la carrosse, son fils auprès d'elle qui fait face à Cyprien.
Elle sait l'attachement que son petit prince ressent pour son parrain.
Alors de l' encourager à lier de bons liens avec lui.
Après tout son parrain pouvait fort bien être une image d' homme auquel Grisha devrait se réfléchir.
Pour que Grisha ne s'ennuie pas trop du voyage, elle lui parlait de la région.
Des montagnes qui les encerclaient et ses courts d'eau qui les habitent, ses forêts d'épicéas qui semblent être de hauts gardiens.
Et les autres comme les hêtres, les sorbiers des oiseleurs toute cette nature enchanteresse pour ceux qui aimaient à s' évader.
De lui expliquer une Savoie antique suivie une Savoie carolingienne et d'une une Savoie médiévale, berceau des seigneurs de Savoie comté au xi siècle, puis duché en 1416.
On pouvait en parler de cette belle Savoie qui était bien située.
Le roulement du carrosse se fait à une allure modérée pour ne pas ressentir les cahots qui pourraient rendre le voyage contrariant.
Bien des lieux avaient été couverts depuis leur départ, et la nuitée commençait à pointer.
Le bleu azur du ciel se teintait de touche grisâtre qui venaient se former en masse .
D'un commun accord on s'arrêtera en un endroit discret où tout ce petit monde pourra aller se détendre.
Petit feu de camps improvisé mais qui semble plaire à son fils.
Tout le monde descend!! même vous Parrain..
Un petit pique nique improvisé nous fera du bien et l'endroit semble calme.
Puis de regarder Alddo
C'est là votre premier jour de Garde soyez aux aguets.... Il paraît qu'il y a de drôles d'animaux qui hantent en les forêts de Savoie.
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
Localisation : Beausaint/Belley
Re: Les petites histoires de la vie
Son petit Prince montrait un débordement d'entrain.
Pendant qu'il s'amusait, elle avait aidé à ramasser du bois qu'ils avaient posé en un tas impressionnant.
Reculant de deux pas, de laisser Alddo donner vie au feu.
Comme attirée par une chose impalpable, elle attendait que le feu prenne vie.
Quelques flammèches illuminaient déjà le tas de bois.
Danse enivrante des flammes qui prennent de l'importance et montent progressivement en hauteur.
C'est alors qu'elle vit son fils danser autour du feu ce qui la fit sourire.
Puis gardant tout de même en tête que le feu pouvait être aussi beau que dangereux et s' écria.
Grisha attention de ne pas t 'approcher de trop, tu risquerai de te brûler.
Elle retourna au carrosse y chercher un panier qu'elle avait eu le soin de préparer et revient préparer un petit endroit où tout le monde pourrait s' installer.
Elle songea qu'il aurait été plaisant que Leksya et les petites soient du voyage que pour pouvoir partager ces petits moments privés.
Le crépitement du bois se confondait aux bruits de la forêt.
Petit frisson qui la saisit...
De relever la tête.
Grisha ne t'éloigne pas, je veux savoir où tu es.
Pendant qu'il s'amusait, elle avait aidé à ramasser du bois qu'ils avaient posé en un tas impressionnant.
Reculant de deux pas, de laisser Alddo donner vie au feu.
Comme attirée par une chose impalpable, elle attendait que le feu prenne vie.
Quelques flammèches illuminaient déjà le tas de bois.
Danse enivrante des flammes qui prennent de l'importance et montent progressivement en hauteur.
C'est alors qu'elle vit son fils danser autour du feu ce qui la fit sourire.
Puis gardant tout de même en tête que le feu pouvait être aussi beau que dangereux et s' écria.
Grisha attention de ne pas t 'approcher de trop, tu risquerai de te brûler.
Elle retourna au carrosse y chercher un panier qu'elle avait eu le soin de préparer et revient préparer un petit endroit où tout le monde pourrait s' installer.
Elle songea qu'il aurait été plaisant que Leksya et les petites soient du voyage que pour pouvoir partager ces petits moments privés.
Le crépitement du bois se confondait aux bruits de la forêt.
Petit frisson qui la saisit...
De relever la tête.
Grisha ne t'éloigne pas, je veux savoir où tu es.
Verrina Di Fogliano- Messages : 186
Date d'inscription : 17/09/2021
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